[RP]Une construction en dure mais éphémère

Écarté sans ménagement, il fut envoyé dans le décor, roulant de tout son poids vers le talus.

Assurément, l'Archange faisait le ménage avant fermeture, des fois qu'il faille solder les derniers comptes en cette période estivale.

Cependant, sa poigne ne semblait pas aussi forte qu'il ne l'avait penser. L'Archange était il vraiment un poids plume malgré sa carrure d'ours?

Ouvrant à demi les yeux, comme la bouche pour avaler une goulée d'air frais-tiens, il semblait que cela passait mieux- il regarda dans la direction de l'Archange mais le vit toujours immobile.
Etrange...

Tournant la tête un peu plus à gauche, il vit un autre visage, beau comme un ange, qui le surplombait avec un air furibard. Caton essayait de réfléchir mais ne comprenait plus. L'Archange avait il délégué un sous fifre? Qu'est ce que lui voulait le bel ange? représentait il une tentation ultime avant le grand départ?

Faisant fi de tout, et même du bel envoyé divin,il retournât sa tête indolente vers le premier venu, et pointant du doigt dans la direction opposée, là ou il lui semblait que Sa Gracieuse Scapinerie avait volé, il murmurât d'un ton à peine audible

Aid... Aidez...moi...l'Arc..hange...pi...tié

Ce que je voyais dépassait mon entendement... Encore une fois, je demeurai bras ballant, presque bouche bée ; en tout cas étais-je interdit par la vision qui s'offrait à moi. Rejoint dans cette contemplation béate par un autre officier que je n'identifiai même pas dans ma surprise, je tâchai de mettre de l'ordre dans mes idées. Promptement, du moins, car l'un des deux lutteurs, maintenant au sol, n'allait pas tarder soit à cracher ses poumons par le nez, soit à prendre une jolie teinte bleu outremer - une couleur des plus déplaisantes quand on veut conserver un minimum de prestance dans le monde des vivants.

Le temps d'un battement de cil, donc, j'eus le temps de mettre mes choses au point. Mon jugement fut sans appel. Quel que soit le fauteur de ce trouble des plus bruyants, j'identifiai la source majeure. Quel ne fut pas mon déplaisir de savoir que notre scapinesque ducaillon f..tait encore le souk sous les remparts que je défendais depuis une grosse dizaine d'années maintenant. Oui, je suis grossier. Non, ça ne sert à rien, mais c'est bon pour mes nerfs. Après la chasse aux cailloux, les boutons de manchette et autres carnavalesques farces, une correction d'un autre type s'imposait.

En bon soldat, j'avais été éduqué très jeune à me mettre rapidement en action. Avec une solution élégante, au terme d'une réflexion qui se devait d'être aussi rigoureuse que précise dans son analyse.

Ce qui, en l'occurrence, se solda comme suit :

Sans ménagement, je me frayai un chemin vers les deux corps enchevêtrés en bousculant allègrement l'officier au passage. Les instants à venir me signaleraient que je venais de percuter Promether d'un solide coup d'épaule d'ursidé. La suite fut encore plus confuse, je dois bien l'avouer - le feu de l'action, tout ça tout ça.
Objectif numéro un : sauver le malheureux Caton. Le malheureux suffoquait désormais pour de bon, et ses suppliques se confondaient davantage à mes oreilles avec un gargouillis de fange dans laquelle on pataugerait, qu'avec les sons que devraient produire une gorge humaine normalement constituée.
Et pour sauver le barbu, une seule solution : saisir vigoureusement son opposant. Attrapant littéralement Scapin par la peau du cou et par la ceinture, je le soulevai comme une poupée de chiffon. J'espérais à tout le moins que la pression de mes doigts calleux sur sa nuque lui feraient lâcher prise.

Les récents événements de la cour d'honneur du bastion devraient me donner raison...

Objectif numéro 2 : secouer sans ménagement l'individu mentionné supra, et le repousser au loin par terre. Et sans considération pour son statut ducal, cela va sans dire.

Voilà que la garde se ruait sur eux cherchant toujours de retourner la situation en sa faveur le blondinet transpirait et commença à baver un peu. Styles escargots qui se déplace et qu’on peut suivre à la trace.
L’ancien continuait à se plaindre si il avait su il aurait serré encore un peu plus le col.

Et c’est là, ne sachant d’où cela venait que le blondinet se senti soulevé de terre bras tournoyant, jambes battant l’air.
Comme porcinet pris sous le ventre s’agitant en tous sens. Mais ne couinant pas comme lui

Bavant encore un peu plus tendant les mains vers l’ancien que pour l’agripper.

S’est un sorcier s’est un sorcier il me fait voler.
Et il a tué Mocha, mon mocha, …. .
Gesticulant encore un peu plus .

Et c’est là que tout se mélange dans ses yeux arbres, corps de garde, soldats, …. défilaient et revenaient à une vitesse incroyable devant lui soldats arbres corps de garde, …. . Quelques caillou de ses poches partaient en tous sens
Mmm wh ouaiii mes cai lll oux Gnaaaaaaa

Propulsé à quelques pas roulant dans fossé qui partait en pente vers les douves du château.
Roulant de plus en plus vite, tient un escargot, …, que pour arriver dans un SPLASCCCCCCCCCCCHHHHHHHHHH

La tête première envoyant gerbes d’eau en tous sens.
Comme bouchon descendit dans l’eau froide puis remonta-en une fois

Et dans des slurps de gargouilli d’eau, …. . Les mains frappant l’eau des douves
Sait blup blup pas blup blup nager blup blup

Gesticulant comme poisson qu’on sortait de l’eau
Me noieeeeeeeee blup blup
Se laissant couler en une fois, vrai qu’avec les bottes et les poches remplies de cailloux ca aidait pas non plus

Tout avait fonctionné aussi bien que je l'espérais, du moins il semblait... Sans prendre le temps de viser, et me débarrassant de "l'ourson de Toul" comme du contenu d'un pot de chambre à travers la fenêtre du premier étage, je l'envoyai valser bien plus loin. Mon souci plus pressant étant de m'enquérir de l'état de Caton.
Le malheureux avait été sévèrement strangulé, et j'en venais à me demander comme un être comme Scapin pouvait faire preuve d'un telle force, quand son fait d'arme le plus éclatant à travers la citadelle semblait appartenir à la Geste du Moustique et de l'Insomniaque...

Un genoux en terre, penché sur l'Ancien, je pris soin de desserrer les lacets de son pourpoint, lui donnant autant d'air que possible, et le maintenant éveillé par des claques régulières.

- Oh... Oh ! Caton ! Caton ! Restez avec nous l'ancien... Respirez, crévin ! Respirez mieux que ça, ou je vous colle au nettoyage du mess pendant six mois. Et vous savez que j'en ai le droit, gredin ! Vous n'êtes pas encore libre vis à vis des FDL, mon vieux ! Allez, reprenez-vous mieux que ça !

J'étais donc là, affairé à montrer l'étendue de ma délicatesse et de mes attentions dignes d'une hospitalière, quand un clapotis pour le moins caractéristique se fit entendre. Jetant un œil derrière moi, je vis Scapin se débattre dans l'eau avec l'aisance d'un chat mouillé, sa chevelure blonde faisant régulièrement surface. J'avais donc jeté si loin... Eh bien, faudrait penser à reprendre les exercices de lancer de javelot, mon petit Eins, t'es meilleur que tu ne croyais...

- Scapin, vous avez deux minutes pour sortir de là et venir vous expliquer, c'est un ordre...

Bon sang, et ça dirigeait la Lorraine... Ma seule affection pour ce gosse lui valait encore d'être en vie... Bruyant, chaotique, ingérable...

Et maintenant silencieux ?

- S... Scapin ?

Qui est long à la détente, maintenant ?

- Oh Tudieu !

Boueux, clopin-clopant, je me précipitais vers la douve.

Des cris tout autour, des hurlements même, la bête du Gévaudan, ou de l'Apocalypse, c'est selon, semblait déchainée. Caton ressentait ses griffures sur son torse, lorsqu'elle desserrait les lacets de son pourpoint. Assurément, elle voulait sa peu, et le déchiqueter en morceau.
Entrouvrant à demi les yeux, il vit que la Bete avait beaucoup de poils drus et fermes, une pilosité abondante, qui lui flanquait la frousse, comme à la mi-carême.
Elle se faisait un plaisir de lui infliger des claques, pour que dure son plaisir sadique de souffrance surement.

Deos, ais pitié de moi, songea Caton. Je ne veux pas mourir maintenant, pas si proche du but.

Des bribes de paroles lui venait aux oreilles "gredin" , "FDL", "nettoyage", "mess".

Qu'est ce que c'était encore que cette histoire? On voulait lui faire nettoyer quoi encore? Il en avait pas assez nettoyer, des latrines, aux FDL? Il en avait pas assez subit des brimades, face à son-à sa-tyrannique gouverneur (-euse)?

Qu'est ce que la fin du monde venait faire avec le nettoyage des FDL?

l'esprit divaguant, il d'tourna son regard amorphe vers l'Ange blond qui semblait se la couler douce en attendant que le carnage général finisse.
Plus il l'observait, plus l'Ange lui disait quelque chose...Les traits du visage, si vagues dans ses yeux embrumés, la couleur des cheveux...La douceur qui semblait émaner de lui

Et puis soudain, la Bete jure, se lève du corps du pauvre Caton et semble fuir la bataille, plongeant vers l'eau des douves.Encore sous le choc, il ne comprends pas pourquoi on le laisse en plan ainsi, ni mort, ni ni vif, ni dead, ni alive.

Tendant au milieu de cadavres d'escargots et autres cailloux ses doigts potelés par des années de scribouillage diplomatique vers l'Ange, il semble voir...mais oui...ses traits..
Un sourire béat arrive sur ces lèvres...Elle vient le sauver...

Elenna...

Mais l'Ange semble pas très réceptif, aussi commence t'il à douter de sa vision. Est ce bien elle, ou un autre? Mais qui alors?

Et puis d'un coup, un grand "plouf", et de nouveau un cri, une plainte. La Bete semble faire une nouvelle victime en les douves. L'Antique regarde la scène, et se demande comment cela va se finir pour tout le monde présent ici...

Après être remonté encore une fois il vit le visage de l'Ours des Ours essayant de comprendre ce qu'il disait mais le poids des cailloux dans ses poches ainsi que l'eau qui s'infiltrait dans ses bottes en décidèrent autrement.

Et dans des bouillons
Cailloux, ...... Botes, .... Bloub Bloub

Le poids fut trop fort se laissant entraîner vers le fond des douves.
Gardant les yeux bien ouvert retenant sa respiration comme on lui avait appris, et le médecin major lui avait dit qu'il avait de bon poumon.

Ho un brochet passa devant lui trouvant la descente bien longue malgré tout

Tout ce temps. Si long, si court. Qu'est ce qu'un instant, dans une vie? Rien. Ou si peu.
L'un reste. L'autre part.
Ainsi va le monde.

Et pourtant...

Etait ce du au vigoureux traitement que lui avait infligé le Sénéchal qu'il revenait à lui? Il n'aurait su le dire.

Toujours est il que l'Antique se redressa sur son séant, l'esprit tortueux dans les méandres de sa conscience. peu à peu, le sang revenait dans ses veines, et la vie qu'elle charriait avec elle.
Il respirait lors, les yeux fermés, l'air ambiant, ce bon air lorrain rempli des senteurs de la moisson.
Les goulées d'air qu'il happait lui procurait un bonheur incommensurable. Dieu que c'était beau la vie, meme loin de Marseille!

Yeux mi clos maintenant, se frappant ses membres gourds, et sa trachée rouge vive, il toussotait mais se sentait mieux. Encore que...revenez à la vie si vite, et essayer de reprendre une activité normale, vous verrez le résultat.

Un cri.Encore.Mais plus loin. Moins fort.
Dressant l'oreille, le Caton pas revenu des hauteurs himalayennes de son inconscient crut que l'ange blond de la rédemption, Uriel, l'appelait maintenant à son secours, dans un donnant-donnant.

Ni une, ni deux, le voilà qui plonge dans les douves, à la suite de la main qui semble coulée, sous les yeux statufiés du Capitaine, et les injonctions à la folie douce du Sénéchal, qui semble piétiné dans ses recherches scapinesques.

Et l'Antique de s’enfoncer encore un peu plus dans la vase des douves, devant une saleté ambiante comme ambiance.
Pensez à critiquer la gestion de la salubrité des douves par le conseil ducal, nota t'il dans un coin de sa tête folle du moment.

Tâtonner, encore, et encore, c'est que le début, d'accord, d'accord...

Au bord de l'asphyxie, il s’apprête à remonter quand du bout des doigts, il touche quelque chose de long et fin.
Tirant dessus, il en vient des dizaines. Rembobinant le fil, il arrive à une grosse ovale qui l'observe hagard, puis à un tronc lourd comme le plomb, lardé de cailloux.
Ni une ni deux, l'Antique secoue le tronc dans l'eau pour en faire sortir les cailloux, et une fois fait (mais combien de temps cela a t'il durer?), il remonte en tirant la grosse ovale vers le haut, jusqu'à la surface, ou il manque s'évanouir de faiblesse, la tete de Scapin sous le bras.

Ah...blup blup...moi, à nous, à l'aide...à la...blup blup garde!

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Dim 11 Jan 2015 - 2:30

Le temps avait passé depuis sa noyade dans les douves sauvé par un de ses grognards.
Ramené chez les moinillons qui avaient essayés de le convertir à la diplomatie.
Paraît que s'était la plus belle chose qui existait, plier la tête quand on disait assis.
Peu convaincu mais pliant la tête. C'est sur une planche de bois que la blondinet arriva devant l'ancienne cabane.
Les quatre curtons soufflant avant de déposer la planche, ....
Bhen vous manquez de l'exercice, ....

Posant pied sur la terre du Castel.
Yhoooooooo y a t il âme qui vive ?

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Dim 11 Jan 2015 - 8:09

marjolainne était matinale en ce jour ,depuis tout ce temps qu'elle s'occupait des animaux ,elle s'était prise d'affection pour une vache qu'elle avait vu naître et grandir et l'avait surnomée L'acharnée, car depuis sa naissance elle se battait pour survivre . La Loyale filait dans les long couloirs sombre et froids du castel,seul ses pas raisonnaient sur le sol . La duchesse de Ligny plongé dans ses pensées ,failli avoir une attaque quand elle entendit une voix.

Citation :: Yhoooooooo y a t'il âme qui vive?

Marjolainne se dirigea vers la voix et reconnu Scapin. Il avait changé ,elle le trouvait amaigri ,ne l'avait on pas nourri chez les moines .

bonjour Scapinou ,il y a bien longtemps . On dirait que ton séjour chez les moines ne t'a pas trop réussi.

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Dim 11 Jan 2015 - 8:34

J'arrivais de bonne heure au Castel ce matin. Les bureaux n'allaient pas être ouvert longtemps.
D'habitude je ne prêtais pas attention au conversation lorsque je croisais quelqu’un mais là ... Cette voix, c'est pas possible ...

Citation :: Yhoooooooo y a t'il âme qui vive?

Je me dirige vers cette voix en pressant le pas.
Ma cousine est là, je lui adresse un sourire puis me plante devant l’arrivant.

Scapinouuuuu .... C'est pas possible ... Tu es là ....
Ha ben voilà un beau dimanche qui commence bien. Je suis très heureuse de te revoir.

Me tournant vers Marjolaine

Qu'est-ce qu'on fait cousine ? On l'attache pour qu'il puisse plus repartir ?

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Dim 11 Jan 2015 - 19:17

regarde sa cousine avec un sourire espiègle .

ton idée est excellente , peux etre devrions nous d'abord le rendre présentable .je trouve qu'il nage dans ses braies .

as tu une idée ou on pourrait l'attacher pour etre sure qu'il ne nous fausse plus jamais compagnie .

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Dim 11 Jan 2015 - 20:07

Les porteurs ne demandaient pas mieux que de retrouver leur liberté, l'encombrant colis déposé devant le pont levis c'est à pas rapide qu'ils repartirent vers les forêts de Lorraine. Amusé le blondinet pensait a l' AB Ki le confessait, qui lui aussi avait brûlé un cierge en le voyant partir. Mais bon les secrets de la confession restaient secret quoi qu'il arrive.

Se retournant en attendant son petit nom et doux de Scapinou, le blondinet fut heureux de voir que le castel vivait encore et pas comme il lui avait été rapporté il y de cela quelques temps.

Baillette et caquette étaient devant lui . Enfin il ne sais si elles occupaient encore poste au sein du conseil. Et comme on lui avait apprit durant ces mois, jours après jours.
Se recula d'un pas tout en se courbant plus que légèrement.

Moi de même vous me voyez heureux que de vous voir en ce merveilleux jour du Très Haut.
Vous êtes resplendissantes mes dames et ce soleil levant vous apporte bon teint en cette journée.

Se redressa en une fois et tout bas Gna gna et gna gna,... Bon fallait pas abuser non plus, ....

Secouant ses vêtements poussiéreux montrant ses poignets.
M'attacher dîtes vous quelle idée cela sera certainement moins pire que ce la retraite m'a fait vivre, ...

Puis ce sourire scapinqesque qui ne présageait rien de bon.
Un nouveau jeu Lorrain peut être, ... ? J'en suis mais pas le fouet surtout, ... . On gagne quoi?

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Sam 17 Jan 2015 - 19:28

Ces paroles une fois de plus semblaient avoir momifié ces amies.
Décontenancé, Bhen vi ca pouvait lui arriver aussi en voyant les dames devant lui. Bougeant doucement le pied droit que pour déplacer les cailloux, ...
Rhoo un blanc, .. prêt à se pencher pour le ramasser. Puis se retînt, les moinillons avaient dît assez des cailloux.
Lentement ramena sa son pied près de l'autre, d'un léger sourire en levant la tête vers le ciel qui semblait s'éclaircir.

Y paraît que des têtes vont tomber d'ici peu de temps, ..... ?

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Sam 17 Jan 2015 - 21:55

Je reste bouche bée devant le Scapinou. Scapinou que c'est doux a penser. Il y avait si longtemps.
Je le vois se courber en signe de salut, avec une scapinerie. Bon il a pas trop changé, c'est déjà ça.

Je ne peux pas détacher mon regard de cette silhouette, trop longtemps absente.
Puis j'éclate de rire

Ha que cela fait du bien de te revoir Scapinou.
Je suis tellement contente. Revoir un ami c'est trop, trop bien.

Je lui prend la main pour m'assurer qu'il est bien là.

Des têtes qui vont tomber ??? De qui parles-tu ??
Tu sais je dois te dire une chose. La nuit tu ronfles ! Et oui et pas doucement. Je t'entendais de ma cellule, tu sais.
Et tu peux pas savoir combien ça m'a manqué.

Je me recule d'un pas

Alors tu reviens parmi nous ? Et tu vas y rester ?
Et au jeu .... ben on gagne rien ... sauf le plaisir de nous voir bien sûr

Sujet: Re: [RP]Une construction en dure mais éphémère Sam 17 Jan 2015 - 23:12

Sortant de l'université ou il s’encroûtait maintenant, n'ayant plus mie à faire que d'étudier pour passer le temps le long hiver lorrain, il vit un attroupement près de l'ancienne cabane de discussion scapinesque.
Léger soupir en pensant au bon vieux temps du n'a qu'un sabot de Vaudémont.
Devenu quelque peu ours, il hésita à s'approcher pour voir qui était là. Néanmoins, une ombre blonde lui apparu au lointain. Rêvait il ou... ni une, ni deux, le boiteux se rendit vers le groupe, reconnaissant les dames qu'il salua profondément.

Et quand elles s'écartèrent, qui vit il? Non, impossible!! Lui!!!

Incroyable!!!

c'est en bafouillant d'émotion qu'il se rendit près de l'ancien duc

Mon Dieu, Très Haut tout puissant, Scapoléon!!!
Vous ici!!!

Quelle joie, Votre Grace!!!

Si vous voulez votre vieux grognard, notre souris chauve et moi reprendrons du service!

J'entendis Hathor demandé si il allait rester. Oh oui, faites qu'il reste, notre Scapin national!

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[RP]Une construction en dure mais éphémère

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