[RP]Une construction en dure mais éphémère

Est-ce qu'un membre du Conseil Constitutionnel peut venir nous confirmer les consignes de vote pour ce tour ?

Je l'ai dit a Xangar par courrier suite a sa demande:

Citation :: Bonjour,

Il faut laisser le temps au vote des lorrains de se mettre en place, de s executer, d avoir les résultats et les conseillers de voter.
oui; ca prend du temps.

le vote du peuple sera pris en compte au 5eme tour, si vous ne désignez pas le duc d ici la.

SdB

et j'ai aussi précisé en gargotte:

Citation :: Je précise donc que le choix du Peuple sera entériné lors du 5eme tour, si les membres du conseil ducal n'ont pas sut choisir leur duc avant.

je crois que j'ai été clair.

Après s'être soulagé le bas du ventre revenant dans la cabane.
Dîtes il serait temps d'aller se reposer car demain est une autre journée et nous fessons trop de bruits que pour les gardes se reposer.

Puis regarda les plats vides
En plus y a plus rien à manger

La cabane avait récupéré ca quiétude enfin seul endroit ou il pouvait encore s’isoler que pour méditer.
Tenant les vélins matinaux en main s’appuyant contre un des pans de la cabane. Les parcourant remarqua la signature de Caton. Secoua doucement la tête puis décida de lui répondre.
Attendant le conseiller

Ayant reçu missive ducale, il se présenta au lieu dit séance tenante.

Ah la cabane...

Souvenirs, souvenirs...

Souvenirs, souvenirs
Quelque part dans le matin
Où le soleil semblait rire
Tout le long de nos chemins...

Il y a avait de cela plus de quatre mois qu'il y était passé, mais s'en souvenait comme hier. Que de chemin parcouru depuis.

Souvenirs, souvenirs
Vous revenez dans ma vie
Illuminant l'avenir
Lorsque mon ciel est trop gris...

La ritournelle du barde françois, provenant du plat pays lui revenait pour illustrer ses rappels. Il chantonnait en arrivant mais voyant le duc, il s’arrêta net

Votre Grace, je vous salue

Ravi de vous retrouver et de revenir en ces lieux si... enfin, en ce lieu ancien et cher à mon coeur.
Vous m'avez fait mander?

Laissant tomber nonchalamment les vélins inutiles tout en enfouissant le plus important sous sa veste.
Ah Caton , Caton, … vous savez fait vite Bien le bonjour
Ces lieux vous les connaissez j’en suis certain.

Nous resterons dehors disons que son dernier emploi n’a pas encore été nettoyé, il reste encore quelques tensions et reste du buffet.

Puis en souriant
Je suppose que vous savez le pourquoi que je vous ai invité icelieu

Regarde le duc perdre ses vélins, en ramasse un ou deux dans sa courbette et les lui tend

bonjour Votre Grace, Votre Grace... J'ai fait vite en effet, toujours prompt pour mon duché!!

Malgré les médisances de certain(e)s, songea t'il, qui confonde vitesse et précipitation...

En effet je connais ces lieux, j'y ai vécu quelques moments de ma vie publique

Soupir puis en souriant

Je suppose en effet mais j'en suis pas sur. Pourriez vous me ré-expliciter tout cela Votre Ducale Grace?

Sourit en voyant Caton s’abaisser pour ramasser les vélins. S’est pas ce que le blondinet attendait mais il retenait la méthode.
Comme vous savez, ...... je vais faire simple pour une fois.
Pourriez-vous m’expliquer votre disparition soudaine alors que vous veniez d’être nommé conseiller ;
Et que j’ai du vous remercier du Conseil Ducal espérant ne pas voir un fantôme errer entre nos murs.

Un fantôme? Peut etre celui qui hante la cellule de Louise, alors?

Il esquissa un sourire, l'image de l'Antique hantant le Castel lui plaisait fort. Cependant, il y avait déjà un maître hanteur en la personne de N'A-Qu'Un-Sabot, et en la matière, il était largement son maitre.

Concernant mon absence...J'étais sur les chemins lorrains, profitant du beau temps, et puis je me suis arreter un peu dans un monastère, quelques jours.
Heureusement, mon brave Friedrich m'a retrouvé au bout de plusieurs jours, avec un vélin provenant de l'office ducal m'annonçant ma nomination suite à la démission du sieur Norbert. J'ai donc répondu favorablement, aussi vite que possible, mais bon, en pleine campagne lorraine, perdu dans les vallées boisées, avec en plus des brigands en chemin...

Bref, je suis sorti de l'office dès que possible et j'ai galopé jusqu'au castel ou je suis arrivé hier soir à brides abattues, apparement plus vite que certains vélins.

Voilà pourquoi je n'ai pu me présenter avant, et m'en excuse devant vous.

Des brigands dîtes vos en chemin mais que font les FDL , …
Il avait tendu la perche au blondinet volontairement ou involontairement mais elle était là.

Excuse acceptée Caton mais, …
Bien sûr il avait toujours un mais

Long soupir
Les FDL justement comme j’en parlais, ….

Quelque soit ma position vis-à-vis de certains de vos membres la liste. Nous sommes ici entre nous
Regardant à gauche et droite ne voyant personne sauf un garde roupiller ;

Vous êtes toujours passible de cour martiale même si rien n’a encore été fait à ce sujet, un juge s’étant évaporé dans la nature avec votre défenseur.
Mais et oui encore un maïs.
Je ne sais plus si vous souhaitiez quitter les FDL ou vous en éloigner ?

Les FDL?

Mais que diable les FDL venaient faire dans la discussion? On parlait conseil ducal, absence, arrivée, et tout et tout, et on se retrouvait avec les FDL!

Entendant la piqure de rappel douloureuse, grimaça assez contrarié

En effet, le juge comme l'avocat ont disparu dans la nature, comme vous le dites. Et en effet, je suis toujours passible. Pour l'instant, je suis suspendu, sur ordre de mon gouverneur.
Depuis j'attends.
Quoi? Je ne sais mais j'attends la fin de cette histoire sans nom.

une pause puis

mais pourquoi me mettez vous les FDL sur le tapis? je ne vois pas le rapport avec le reste de la discussion!
Pourriez vous m'eclairer, je vous prie?

Si j'avais chandelle je vous éclairais mais vous devrez seulement écouter mes paroles.
Il avait déconcerté l'ancien cela l'amusait le blondinet.

Je précise sur Ordre de l'Etat Major et en particulier du sénéchal pas du gouverneur, ceux si n'ont pas tout pouvoir même si ils peuvent vous faire souffrir.
Laissons de côté pour le moment le Tribunal.

Souhaitez vous quitter les FDL?

Mais que diable cela vient il faire là, je ne vous suis pas!! On me convoque pour le conseil, je finis aux fdl!!!

Soupirant, ne comprenant rien de rien, il se décida à répondre sans chercher le fin mot de l'histoire.

A la base, je ne souhaite pas démissionner. J'ai seulement demander un congé qui m'a été refusé.
Puis diverses solutions envisagées, comme un passage dans un autre bastion, etc... refus également.
Ensuite, on m'a sorti de vieilles affaires de plus de six mois, avec ce qui s'en suit.

Maintenant, je vous le redis je suis en attente. Procès, pas procès, oui, non... je suis dans le flou total, donc j'aimerais bien malgré tout que vous éclairiez ma chandelle, vous qui savez tout, et de partout.

lui sourit gentillement, attendant la suite

Bon j'en conclus que vous ne souhaitez pas quitter les FDl et que vous seriez prêt à y reprendre poste et fonction.
Regarda Caton qui était complétement perdu mais s'était bien là ce que le blondinet voulait.

Vous savez que en tant que chef des Armées je peu beaucoup enfin pas mal de chose, ...
Se disant qu'il devait aussi se justifier devant l'Etat Major mais bon ca il s'en chargerait.

Malgré votre suspension vous êtes toujours garde qui n'avez pas prêté serment.
Voici mon marché et je vous sais marchand ayant eu la chance d'acheter votre production en la capitale

Votre suspension temporaire sera levée, vous prêterez serment des FDL.
Dés que les soucis en la capitale seront passés vous rejoindrez Vaudémont et en assumerez les charges complètement rapport courriers bla bla avec la mairesse suivi des dossiers durant tout mon mandat

Puis sourit .
Ne priez pas pour qu'il se termine si vite que cela surtout. D'autres s'en charge pour vous

Si vous réussissez cette petite épreuve j'interviendrais que pour toutes les charges retenues contre vous soient oubliées au plus profond des cellules de l'EM.

Puis se recula de deux pas regardant la tenue de Caton.

Il semble que vous gardé vos anciens grades de Connétable.
Secoua la tête doucement.
Ils vous vont bien.

Je vous nomme Connétable et j'espère que vous aurez appris de la première fois et que vous serez à la hauteur.

Se campant devant l'ancien.

Alors ?

Il écoutait abasourdi les avis de Scapin, ces propos et ces dires
Beaucoup de choses à analyser en meme temps, la tete lui tournait

Holà, attendez Scapin, je suis perdu avec tout cela, vous me donnez des vertiges!!

Se tenant le crane, sentant la migraine poindre, il lui demanda

Attendez, attendez... le marchand va marchander un peu avec vous

Souriant

je plaisante, non je veux surtout bien comprendre ce que vous me dites.
Premièrement je suis garde certes, mais j'ai prêté un serment en entrant aux FDL, c'est pas le meme?
Deuxièmement, pourquoi Vaudémont, et pas restez à Epinal? J'ai tout mes biens là bas. De plus on est plus payé il me semble alors je gagne ma croûte comment?
Troisièmement, pourquoi tout votre mandat?

Avait quand même envie de prier car cinquante jours c'est long dans un petit bourg. En plus Louise était plus mairesse, cela aurait aider. Et les rapports de douane, argh!!!

J'veux bien comprendre votre marché, mais au plus profond de l'EM cet inique procès contre cela, pfff. En plus, cela resout pas ma demande de congé, cela!

Ralait par principe, le connaissait le Scapiduc, puis le voyant se reculer et l'écoutant, sourit

Merci, je les aime beaucoup aussi. Je trouve qu'il décore bien mon ensemble militaire, même si ils sont un peu passés de mode...
Mais bon, comme le revers est gravé "mandat de Scapin", ils peuvent toujours servir, si vous voyez ce que je veux dire...

Lui sourit, ne disant pas qu'il avait pas retrouver les anciens tout simples de garde, un peu flemmard sur le coup là

M'enfin, j'ai une dernière question: pas d'objection avec un cumul, parce que j'ai encore la chancellerie...

Souriant toujours au duc

Le blondinet fut surpris de toutes les réponses de Caton se redressa en une fois .
malgré le respect qu'il avait pour son frère d'arme

Leva la main et envoya une claque au plus vieil aspirant des FDL
Le retenant par le col en le secouant

Vous allez enfin vous décider sur une chose .

Bhen vi la jeunesse ca avait de la force.

Il attendait benoitement, quand tout à coup, paf, il prit une gifle en pleine face

Puis le secouant comme un prunier, espérant sans doute que ses fruits allaient tomber du panier

Mais arretez bon sang de bois!
ça ne va pas Scapin?

Attrapant alors le bras du Duc qui le secouait, pour desserrer son étreinte.
En serrant le col, commençait à l'étouffer.

M'enfin...Scapin...que se...passe t'il?
Je ne vous...comprends...pas...quelle décision?

Commençait à tomber en pamoison

Lâchant le col du vétéran
Vous comprendrez un jour

Ahhhhhhhh la garde Gardeeeeeeeeeeeeee Catonnnnnnnnnn
Vien d'écraser mes escragots.

Laissant l'ancien un instant que pour crier encore plus fort vers le pont levis

Un médecinnnnnnnnnnnnn ou des brancardiersssssssssssssssss

Tombant en syncope sur le sol, étranglé à demi par le duc

S'écroulant de tout son maigre poids sur le sol, tiens quelque chose de gluant en dessous de lui..

Ah...à moi...la garde....

à moi...mon duc...

Étouffant, regardant ses beaux galons à demi...

'Il have a dream..."
Il se vit, enfin débarrassé des problèmes avec les FDL qu'il avait. il se vit enfin débarrasser de ce procès. Il se vit en garnison dans une petite bourgade.

I have a dream...

Entraîné par le poids de l'aspirant surpris aussi de celui ci.
Le manque d'exercice certainement le programme devrait changer d'ici peux de jours.
Ahhhhhhhhhhhhhhh
Mon escagattttttttttttttt

Nan gotttttttttttt

Posant sa deuxième main sur le col tout en poussant un peu plus.
Secouant la tête du vieux garde

Vous l'avez entendant le scrotch vous l'avez srcotch en plus, ...
A la garde à l amorttttttttttttttt

Entendait de loin en loin la voix de Scapin

Sentant une nouvelle main à son col qui le tragnait encore un peu plus, et quelqu’un s'écroulant sur lui.

Il sentait la vie quittée son corps, d'ailleurs tout son fluide se retirait de son corps, il le ressentait et le voyait

Ah non, c'était un autre escargot

Regardant vers le Ciel, espérant l'aide de sa souris chauve ducale si elle lui amenait son seau pour le sauver.
Rien, nada.

Sa tete lui tournait, la migraine, mais pas seulement, on la lui retournait en tout sens

Scapin...Scapin...
Mais pourquoi? Vous,...mon instructeur...pourquoi...cela...pourquoi...mon...départ...
Que...vous...ais je fait? Est ce les FDL?...la chancellerie?

Je suis...d'accord...avec...votre...

N'arrivant plus à articuler

Il eut fallu être sourd pour ne pas entendre le raffut que générait le duc Scapin ce jour-là. Déjà qu'en général ses seules allées et venues dans le couloir de mes quartiers me donnait le sentiment d'avoir un troll en bas âge parmi mes subordonnés. Mais aujourd'hui, nous atteignions des sommets de bruit et chaos.
L'âge venant, voyez-vous, le jeune et bouillant Einskaldir d'antan avait laissé place à un vieil Ours qui n'aspirait qu'à l'ordre, à la discipline, au calme... voire aux jardinets parfaitement entretenus quelque part dans la région de Nancy.

Bref. Je commençais à me sentir un peu vieux pour ces conneries comme dirait l'Autre.
Autre qu'on aimerait d'ailleurs bien rencontrer un ces jours, quand même, parce qu'à force d'en entendre parler sans jamais le voir, on finirait par croire qu'il est atteint d'une maladie honteuse. Mais ce n'est pas la question, puisque je m'apprêtais à passer superbement à côté de la scène qui se tramait à grand renfort de scapinesques abominations sonores.

Mais... dans la confusion, les cris et tout le tintouin, c'est l'instinct soldatesque qui se réveilla tous feux allumés. Car présentement, même sous ses atours de bouffon goguenard, c'était mon duc qui appelait à l'aide.

Pressant sur ma jambe cagneuse pour arriver au plus vite sur les lieux, je n'eus que bien peu de temps pour évaluer la situation. Le duc semblait aux prises avec un autre homme, et quelques pas de plus me donnèrent plus de détails. Une barbe blanchissante en vue, et je reconnus Caton.
Le cri m'échappa tout seul, claquant dans l'air du jour :

- Par le sang d'Aristote, Caton, je vous ordonne de lâcher sa Grasce immédiatement, où il vous en cui...

Je stoppai net dans ma phrase et ma course.

Ce n'était pas Caton qui maltraitait le duc.

Le souffle lui manquait de plus en plus. Il sentait que ses forces l'abandonnaient face à la jeunesse.

Au loin, des cornes de brume résonnaient. Elles semblaient sonner le signal du combat. Une charge terrible déboulait sur le champ, devant la Castel. Mais quel combat? Qui étaient ces attaquants venus de nul part?

Pourtant il sentait sous lui la terre tremblée, comme si la Force se ruait vers eux. A moins que ce soit une charge d'animaux sauvages? des ours, peut etre?
Ou alors Attila revenait avec ses Huns?

Cela faisait un baroufle, on ne s'entendait meme plus s'étrangler tranquillement.

Et puis un hurlement, féroce, bestial, comme si il provenait des entrailles de la Terre, déchira le Ciel de sa puissance. Il entendit vaguement les mots "Aristote", "Grace", déclamés d'une voix de stentor, à vous en faire dresser les poils sur les bras.

Alors enfin il sut.

C'était la fin, le grand Jugement. L'Apocalypse arrivait, dans un effroi terrible, qui enveloppait tout son regard. On venait le chercher pour l'emmener là bas, pour finir l'oeuvre commencée au tout début.
Tournant quelque peu la tête, du peu qu'il pouvait dans l’étranglement que la scapinesque Grace lui accordait ducalement, il entraperçut l'Archange qui arrivait, menant train d'enfer en se déhanchant à toute vitesse.

L'Antique tendit alors sa main de son bras allongé vers l'Archange, comme une invite...

A...moi...l'arch...ange...

Tout en continuant a secouer l'ancien ses yeux plantés dans son regard . Le blondinet senti des vibrations parcourir son dos à presque le secouer.
S'est comme si carré de piquiers armés et armurés se déplaçaient. Le sol tremblait sous lui . Immobilisant ses mains un instant
Avant de laisser un, ... Vous serez garde, ....

Se voyant bouger alors qu'il ne fessait plus rien.
Seul les paroles sortaient de se combat qui n'avait même pas commencé
- Par le sang d'Aristote, Caton, je vous ordonne de lâcher sa Grasce immédiatement, où il vous en cui...

Fermant les yeux un instant pour ne plus regarder l'ancien qui semblait changer de couleur son esprit partait en tous sens .
Non pas le cailloux oui la plante qui rend fou non pas l'escargot. Oui la chauve qui te suce le sang, ...

Prenant une grande respiration le troubadour prit les mains molles de Caton et se les collas à la gorge se penchant un peu derrière lui.

Tournant la tête vers les gardes et surtout vers le bruit semblant reconnaître l'Ours des Ours

Tirant un peu plus Caton vers lui alors qu'il se laissait aller vers l'arrière, le trouvant pas si léger que celà

Sonnez la corne,.... Sénécéééééééééééchalllllllllll on en veux à ma viiiiiiiiiiiiiiiiiiiie

Se laissa tomber de côté tout en maintenant fermement les mains de l'ancien sur sa gorge

Comme chaque jour, le Von Strass consacra un créneau horaire à s'atteler sur la rédaction de courrier ainsi qu'à d'autres paperasses administratives. C'est ainsi qu'en cette journée, une unième lettre fut scellée avec de la cire puis confiée à un garde qui avait alors pour mission de la remettre à son destinataire.

À l'extérieur, le soleil était des plus radieux, pas un seul nuage n'était visible et la chaleur estivale était au rendez-vous au point qu'il était préférable de trouver refuge à l'intérieur des murs froids du Castel. L'Aile dans laquelle se trouvait le jeune Capitaine était peu fréquentée, il était donc très agréable d'y travailler. Toutefois.... cette tranquillité fut troublée soudainement par des hurlements. Le jeune homme n'y prêta pas tout de suite garde, mais ces cris s'amplifièrent et raisonnèrent au sein de tous les murs de l'édifice, il était alors difficile de ne pas les entendre et de distinguer la voix du Duc. Qu'est-ce que... ? Instinctivement, le Von Strass se leva d'un bond et accourra en dehors du bureau jusqu'au lieu où provenait les cris. Lieu qu'il ne trouva -en vérité- pas aisément, mais lorsqu'il arriva à la Cabane, il retrouva avec surprise le Sénéchal non loin de la porte puis Messire Caton tenant le cou du Duc. À première vue, il s'agissait bien d'une agression ainsi le militaire ne chercha pas à comprendre davantage et se précipita sur les deux hommes afin de les pousser l'un de l'autre

- Bon Dieu ! Que se passe-t-il ici ? Dit-il de sa voix rauque et bien plus forte qu'habituellement, trahissant ainsi son énervement.

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[RP]Une construction en dure mais éphémère

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