Le corps de garde : accueil

Une journée de plus, à chevaucher et aux côtés de ses frères, le Bruder était en son élément. Lorsque le Ritter et Hochmeiter (Grand Maître) Teutonique lui avait demandé de l'accompagner en le Castel de Nancy, il s'en était fait une joie.

Makcimus, avait avec une grande minutie préparée les montures, les couleurs de l'ordre avaient été affichées et les soldats d'Aristote toujours très apprécié en Lorraine s'étaient évertués à répondre aux nombreuses salutations en chemin.

Le géant Lorrain souriant, porta son regard vers l'Hochmeister alors qu'en cette fin d'après-midi, ils découvraient face à eux Nancy. Il leva la main pour protéger ses yeux du soleil encore bien présent et prit le temps de contempler l'imposant Château.

Peu de temps après... Alors que l'éclaireur annonçait l'arrivée de la délégation Teutonique, Makcimus porta sa monture à hauteur de celle du Grand Maître et il attendit en époussetant au mieux sa vielle tunique. Oui bon, il aurait certainement dû en changer... Mais il était assez conservateur et quelque peu extrémiste en ses idées, il avait fait voeu de pauvreté et il se sentait tellement bien en sa tunique qu'il repoussait l'échéance.

Les gardes à l'entrée du Castel, envoyerent un messager prévenir la Duchesse de la présence de nouveaux venus.

je suis messire crasing je viens me présenter au corps de garde pour avoir mes accès pour savoir prêter serment à la maréchaussée de Verdun

rosa arriva au castel,ne savait pas trop où y aller,en regardant de gauche a droite,elle s approcha d un garde
heu bonjour monsieur , permetez moi de me presenter ;je m appele rosa, je suis de toul et j aimerais bien avoir mes acces pour la marechaussée,

Barberine s'approche de Rosa et lui sourit.

Bienvenue à la Maréchaussée Rosa, suis moi je vais te montrer le chemin

Puis s'adressanrt au garde elle ajoute.

C'est parfait Mesire je m'occupe de Dame Rosa une nouvelle recrue pour notre corps de police.

Elle sort du corps de garde en montrant le couloir à suivre à Rosa

rosa a enfiin reconnu quelqun dans la foule,
bonsoir barberine,elle sourit en la remerciant ,puis la suit pour lui montrer le chemain.

Un nez mutin passa sous la herse, un sourire accrochée dans ces longs cils blonds, une jeune femme héla le garde

Bonjour, Je suis Cyann tout simplement, je sollicite audience auprès du duc Circa , peut-être est il plus réveillé quand il travaille ici qu'en taverne * clin d'œil au garde* je viens de m'installer ici en Lorraine, à Toul pour être exacte et j'aspire à enseigner à l'université ; j'ai également des points d'état à fournir et j'ai obtenu l'agrément du comté et puis tout un tas d'autre chose ma foy ... * sourire malicieux*

L'un des deux gardes était parti aussitôt pour mander sans doute uen autre personne ou glaner uen autorisation, toujours est il qu'il n'était toujours pas reparut .... Cyann s"assis sur un muret de pierre et contempla la vue, fort belle; au demeurant. puis , elle détailla le château et aperçut des gargouilles. Elle sourit et se mit à rêvasser et comme elle n'avait somme toute pas grand chose d'autres à faire, elle se mit à déclamer un poème.

Ô noir génie de la terre mère
Je pleure ta liberté perdue
Tes rêveries interrompues
Pour des êtres éphémères

Gardien du monde des espoirs
Tes rêves se font dans le noir
Nous ne sommes que courants d’air
Pour qui, Chevalier de l’imaginaire,
Tu dessines un pont vers le ciel

Rempart devant les vanités de ce monde
Pour nous tu veilles sur ce chemin de ronde
Ouvrir la porte encore et toujours
Et rester dehors jour après jour

Se souvenir du sel
S’élever enfin jusqu’au sommet
Caresser le dos des limbes en secret
Oublier le temps des mortels

Ouvre moi la porte
Petit oiseau qui fuit la pluie
Je veux y faire mon nid
Sur ces tourelles intemporelles
Donne moi ton ciel
Je te donnerai du sel

Marchande de rêve, de rien, de sable
J’ai quelques étoiles dans mon cartable
Poudre de perlimpinpin
Poudre aux yeux pour le malin
Coup de poudre pour qui voit loin

Regarde moi
Bout de femme
Petite flamme
Ouvre ta main
Montre le chemin
Ouvre moi

Elle écouta la dame déclamer son poème et après un moment d'émotion, elle finit par la saluer

Bonjour, bonjour dame, c'est magnifique

Elle toussota espérant que le garde verrait sa présence

Je suis Michaella, d'Epinal. Je viens d'être élue maire de la ville et je souhaiterais avoir accès au conseil des maires et devenir modérateur du conseil municipal d'Epinal. Si possible... merci

elle s'assit tout près de la dame, profitant de cet moment fantastique, les vers ressonaient encore dans sa tête

La jeune fille lissa machinalement sa jupe. La citadelle l'impressionait tellement! Elle sourit aux deux dames qui attendaient déjà.
Excusez-moi auriez-vous vu dame Barberine?
Elle se demandait avec anxiété si elle ne s'était pas trompée de chemin. Son sens de l'orientation était tellement fiable! Et puis l'amour tournoyait à toute vitesse dans sa pauvre petite tête Mais les deux dames avaient l'air d'être dans la même situation d'attente qu'elle, elle s'installa donc à leurs côtés.

Barberine s'avance vers Arpha tout sourire dehors.

Bonsoir Arpha, je suis contente de te voir et bienvenue au castel.

Ne reste pas dans les courant d'air, je vais te conduire chez le prévot, mais je te ferais attendre dans l'antichambre le temps que tu reçoives tes acces.

Ce sera plus confortable qu'ici pour passer la nuit.

L'entraine par le bras pour lui montrer le chemin.

Cyann sentit son ventre se torde de douleur ... la faim était là. depuis combien de temps attendait elle déjà ? d'autres femmes étaient arrivées et attendaient elles aussi depuis un certain temps déjà. Elle se rapprocha du garde restant et se redressa de toute sa hauteur, toisa l'homme et dit d'une voix forte afin que tout le monde en profite

Dites donc l'ami je suis bien au château de Nancy ? là où on accueille las visiteurs ? * hochement de tête de l'homme * alors veuillez je vous prie faire le nécessaire .... c'est tout de même un comble j'attends depuis des heures* ce serait dommage que je me se,te obligée d'informer le tout Nancy, la lorraine et pourquoi pas le monde entier de la réactivité pour ainsi dire absolument nul du conseil chargé de faire son travail en ce lieu ... après tout je ne demande pas la lune juste à avoir ma carte d'étudiante pour avoir accès à l'université et également mes aces au bureau des fonctionnaires ... Que se passe t-il ici ? ils font la fête boivent et ne ne nous ont pas invités ou quoi ???!!! Toi compris .. allez vas et dit leur bien que nous attendons depuis longtemps et que la blonde pourrait se transformer en furie si on ne la nourrit pas de suite* éclate de rire*

L'homme hésite à laisser son poste seul puis part au galop, elle a pas l'air de plaisanter la blonde et pis... Cyann elle se retourne vers ses compagnes d'attente et leur sourit, elle n'ont pas raté uen miette de sa dernière tentative bien sur

y a t il un intendant pour sauver le castel ?

Elle leur fait un clin d'œil et rit doucement. Un autre grondement sonore empli l'espace et la laisse pantoise ...

[HRP * il suffit de regarder les dates des messages pour vérifier que je suis d'un patience extrême^^]

Je me présente Gringalet je suis de Toul et demande un entretien avec le Lieutenant Barberine

Bonjour Gringalet, ravie de t'accueillir au castel.

S'adressant au poste de garde :

Messire vous oiuvez laisser passer, Gringalet, je l'accompagne à la prévoté.

Se tournant vers Gringalet

Suis moi, les couloirs sont un peu long, attention de ne pas te perdre.

Bonjour Barberine,

Il est vrai que le chateau est grand. Je vais vous suivre de très près pour éviter de me perdre dans ces longs couloirs...

[j'ai les accès à la salle des étudiants mais pas à celle des haut-fonctionnaires alors que IG, je suis déjà haut fonctionnaire, pourriez vous rectifier, svp ?]

Bonjour,

Je suis mairesse depuis ce matin, je souhaiterais avoir les accès au conseil des maires, ainsi que d'avoir les droits de modo au CM.

Merci

Capriss arriva au Pont-Levis du Castel et se présenta aux gardes.

"Bonjour à tous !
Je suis une nouvelle parlementaire, Messire Sabifax m'a dit de me présenter ici, je l'attend donc."

Un garde venait d'annoncer au président du parlement que Capriss était arrivé aux grilles du castel. Il se précipita dans les couloirs puis dévala à toute vitesse les escaliers pour l'accueillir.

Bonjour Capriss, et bienvenu au castel.
Tu vas commencer par me suivre. C'est assez grand ici, je voudrai pas que tu te perdes.

https://casteldenancy.forumpro.fr/hemicycle-f7/annonce-pour-les-nouveaux-arrivants-t5894.htm

Ensuite tu pourras aller te présenter aux autres parlementaires. Ithylic de Saint-Dié vient d'arriver, un nouveau comme toi.

https://casteldenancy.forumpro.fr/hmicycle-f7/prsentation-t4959-200.htm

Une nouvelle journée commençait pour le major.
A peine démobilisé de la Campagne d'Artois, il n'avait pas encore eu le temps de rentrer sur Epinal et voilà que la Bourgogne entrait en état de guerre.
Quand les gens cesseraient-ils de se battre pour des richesses, pour un bout de terre ou pour une place plus importante dans la hiérarchie, tout cela pour satisfaire leur petit orgueil futile, il y avait quand même bien mieux à faire dans ce monde, comme s'occuper des démunis ou de faire évoluer les choses pour que chacun ait sa place dans un monde meilleur, par exemple.
Mais tout cela n'était-il pas qu'utopie ?

Mais d'autres problèmes occupaient pour l'instant son esprit : l'Eglise Lorraine ; en effet, on avait rapporté au Diacre Itinérant les différends entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel. Ayant parlé avec le Vidame de Trèves, ils avaient décidé de se déplacer afin de venir rencontrer le Duc Circa pour tirer les choses au clair et trouver des solutions à la crise latente.
Uriel déplorait que la situation ait dégénéré à ce point, car le peuple n'avait pas mérité cela.

Ainsi donc, il se prépara et revêtit son uniforme bleu et rouge, enfourchant son cheval aux aurores et prenant la route du Castel.

Arrivé près du poste de garde de cet édifice impressionnant, il démonta et se présenta à la personne en faction.

Salutations,
Et Pax Vobiscum,

Je suis Uriel, Major à la Garde Episcopale et Diacre Itinérant de Lorraine, je requiers l'entrée au Castel afin d'y avoir une entrevue avec Sa Grâce le Duc Circa.
Deux de mes supérieurs viendront me rejoindre dans peu de temps.

Tournant légèrement la tête, il jeta un coup d'oeil en arrière pour voir si il n'était pas suivi de près par Mun ou Fedy.
Il reporta alors son attention sur la personne en faction.

Mun était déjà arrivé depuis quelques jours ayant eu vent de l’arrivée de son filleul, il se dirigea vers la herse laissant les gardes faire leur travail avant d’intervenir.
Il avait fait réaménager la salle du Concordat ou toutes discussion pouvaient y être faite ente le Duc et les représentants de al GE

Bonjour,
Je me présnte, je m'appelle Cylas et je viens demander à entrer dans la maréchaussée de St Dié.

Un cavalier approchait du castel, l'uniforme recouvert de poussière. Son visage marqua soudain l'inquiétude sentant sa monture boiter.
Il l'arrêta et mit pied à terre. Jetant un regard sur les membres puis passant sa main sur les tendons, il trouva finalement qu'elle était la cause de la boiterie : un fer bien usé qui s'était déchaussé.
C'est que depuis deux mois qu'ils étaient parti de Verdun et de Lorraine, ils en avaient fait de la route, sa jument Lavande et lui.

Heureusement qu'il était arrivé. Au chateau, il trouverait bien à l'écurie un maréchal ferrand.

A pied au côté de sa jument, le jeune homme approcha de la herse. Il y vit un homme qui attendait pour pénétrer dans les lieux et reconnut son uniforme. C'était son ami Uriel.

Uriel ! Toujours aussi rapide mon ami.

Mais le garde le dévisageait.
Frédéric se présenta.
Bien le bonjour, garde.
Je suis Frédéric-Guillaume Von Frayner d'Azayes, Baron de Dounoux et aspirant vidame de la province de Trèves.

Je viens demander audience auprès de sa grace le duc Circa de Rubempré.
Monseigneur Mun Von Frayner devrait nous rejoindre.

Tiens ! il est là d'ailleurs.

Frédéric vit arriver de l'autre côté de la herse son cousin déjà présent en la citadelle.

Uriel était à la herse depuis un moment lorsqu'il apperçu son parrain Mun dans la cour.
Il sourit et lui fit un signe ! Décidément, il était toujours là où il fallait quand il fallait !

Un autre cavalier se pointa à l'horizon ; au Gonfanon et à l'uniforme blanc du Vidame, il n'y avait aucun doute, c'était Fedy.
Lorsqu'il s'approcha, il lui fit le salut de rigueur.

Uriel ! Toujours aussi rapide mon ami.

Il hocha la tête, positivement.
Le Major était un adepte de l'adage "il vaut mieux battre le fer tant qu'il est chaud" - à moins que ce fut "il vaut mieux battre le fier tant qu'il est chauve" ... non, ce n'était guère très aristotélicien comme proverbe.

Oui, mon ami, j'aime autant ne pas laisser trainer cela ; et je ne souhaite pas non plus laisser s'enterrer la chose.
Certes, le temps peut apaiser les tensions, mais il peut aussi laisser s'insinuer le malaise.
Dès lors, autant l'apaiser de suite et mettre les choses au clair afin qu'il n'y ait aucune compréhension.

avec Mun et Fedy, ils étaient au complet.
Le Major se retourna vers le garde, attendant maintenant sa réponse ...

Mun fut heureux de voir son cousin arriver répondant au signe de main de son filleul.
Regardant à gauche et droite espérant un garde arriver puis haussant légèrement les épaules il parti ver ses frères d’armes.
soyez les bienvenu au Castel de Nancy mes frères, je ne sais si s’est à moi de faire l’accueil
Mais soit accompagnant d’un large sourire.

Je vois que vous avez fait beau voyage et que votre retour d’Artois vous à donné quelques couleurs.
Les voyages ne forment t ils pas la jeunesse.
Regardant les deux cavaliers qui avaient pied mis à terre.
dans tous les cas s’est pas avec ce que nous avons mangé dans ces contrées éloignées que nous avons gagné du poids Portant sa main sur son ventre

Vous pouvez laisser vos montures
montrant les anneaux dans la muraille du Castel,
je suis certain que les gardes s’en chargeront.

Il n’est pas d’usage de parcourir les couloirs à cheval
Quoi que,….
Se souvenant d’un épisode qu’il avait provoqué une fois au castel lui fessant naître un large sourire sur le visage
Mais j’étais jeune et fougueux en ce temps.

Si vous voulez bien vous donner la peine de me Suivre Je vais vous conduire à la Salle qui a été aménagée et rénovée tout spécialement pour la Garde Episcopale de Trèves.

S’avançant légèrement vers la cour intérieur
ne vous perdez pas je connais certaine alcôves dérobées dans les murs du castel.

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