Quelle course ?

une course ou le vainqeur recevrait 6 pomme en recompense le 2° en aurait 4 et le 3° quant a lui il en aurait 2 le parcout se deroulerait dans le verger de saint dié. parcourt plus ou moins dure on verra

C'est lancé !

J'ai une super idée d'activité. J'ai l'intention d'organiser une chasse au trésor dans saint dié.

Le principe :

- Chaque joueur s'incrit lui, et envoi par courrier le nom d'un objet qui le caractérise.
- Le but du jeu et de retrouver son objet au bout d'une semaine.

Déroulement :

Pour chaque objet je créerai un lieu sur la halle avec une bonne base RP, que devront visiter les joueurs. Le premier arrivé connaitra l'objet qui s'y trouve les autres devront aller chercher ailleurs.
Une fois que tout le monde a trouver un objet, il devra retrouver l'objet qui lui appartient.

- Lorsqu'un joueur trouve un objet il en devient le gardien, et doit donc rester dans le lieu ou il l'a trouver pour etre près a repondre au questions des joueurs. Cependant cela ne l'empechera pas d'aller lui aussi poser des questions au autres joueurs par l'intermédiaires de son personnage ou d'un PNJ.

- Lors de ces petites enquetes il y a 3 regles.

1 faire un minimum de RP !

2 ne jamais citer l'objet qu'on cherche ni le nom d'un lieu, il va falloir parler un peu et faire des description mouhaha .

3 On ne peut poser qu'une seule question a un joueur et il est interdit de poser 2 fois la meme question a 2 joueur différend. ( on peu jouer sur la tournure c'est juste pour que ca soit plus varié et amusant )

Fin de l'évenement :

Le jeu se termine quand tout le monde a poser une question a tout les autres concurents ou bien apres un temps définis si c'est trop long.

Le joueur peut ensuite quitter le lieu dont il est le gardien et doit se diriger vers celui ou il pense que son objet se trouve.

Bien sur le secret et de mise sur l'objet dont on est le gardien !

Au final la halle aura des nouveau lieu, et sera peut etre un peu plus animée.

Que se passe t'il si quelqu'un trouve son objet des le départ dans le lieu qu'il a choisit ?

héhé ben je changerai l'objet

Si vous avez des suggestions d'amélioration ^^

Si on a trop peu de participant ^^ c'est saint dié quoi Le jeu risque d'être trop facile.

Voila ce que je propose dans ce cas la, mais aussi dans le cas ou il y a plus de participant si jsuis motivé.

Chaque lieu sera divisé en 4 le nord le sud l'est et l'ouest. voila ce que j'ai commencé a faire :

- Le champs : divisé en : l'épouvantail, le moulin, l'arbre mort, la muraille en ruine ( ou la ferme en ruine )

- L'étang : divisé en : l'ile du milieu accessible par un petit pont, les roseaux ou le l'étang est peu profond, le ponton des pêcheurs, le vieux lavoir.

- La rivière : divisée en : le chemin caché, le pont, la barque, le seuil

- La forêt : divisée en : la lisière, la plaine, l'arbre centenaire, les fourgère

- La colline : divisée en : la grotte, les rochers, le petit bosquet, la cabane abandonnée.

Le jardin près du verger : divisée en : le jardin de l'église, le verger, le fossé et la statue.

En plus de rendre les choses plus jolies et plus complete pour la description de saint dié sur la halle, cela permet surtout de caché 4 objet par lieu, soit un objet rechercher et 3 objet piège qui brouilleront les pistes, car si il y a peu de joueur il y aura peu d'objet également.

de plus cela permettra au gardien de pouvoir répondre sans vendre la meche trop facilement. Oui j'ai vu un objet ben toc c'est gagner alors que la il va encore avoir a décrire le lieu. Par exemple

Ankis est le gardien du lieu temps de vivre, il garde l'objet rechercher par Harsty.

Harsty arrive : '' bêê bêê bêbêeêbeê ? ''
Ankis : oui j'ai bien vu un tel objet --> Harsty sais qu'il est la donc fin.

Alors qu'avec les sous-lieux on peut développer sa réponse.

Admettons qu'il y ait derriere le comptoir, derriere les tonneaux, a l'étage ou dans le jardin. Ankis va devoir répondre plus précisement mais sans dire les mots comptoir tonneaux étage ou jardin.

Harsty arrive : '' bêê bêê bêbêeêbeê ? ''
Ankis : oui j'ai bien vu un tel objet. Quand j'ai voulut changer le fut éventé d'hier soir--> Harsty sais qu'il est la mais hésite entre le comptoir et la réserve --> finalement il va dans la réserve et s'endors pas loin de la bouteille ^^

bon pour la chasse au trésor je suis pour tu a champs libre

a toi de jouer ankis

Je sais pas où tu va chercher tout ca , mais bravo Si tu as besoin d'un coup de main, n'hésite pas.

ouha il y a du mouvement ici c dernier temps allez continuer comme sa on et sur la bonne voie

wep ^^ profites en bien lol ca pourrais ne pas durer ^^

oui je sais mais sache qu' il vas y avoir du changement tres bientot ^^

Ah oui ? Vas y expliques restes pas sur une phrases comme ca lol

Tu as prévut quelques chose pour l'animation ?

Pour le CM ?

Pour saint dié ?

Un nouveau texte une nouvelle loi une réforme du CM ?

il vas y avoir du mouvement auniveau des conseiller municipaux

C'est pas très précis ca Tu peux développer?

tu le verra part toi meme ithylic

Les cartes pour le jeu

saint dié



et les zones

Zone 1 ( jaune ) les champs de blé

je vais rajouter des images et retravailler certains passages ^^

La plaine de saint dié

''Une aube affaiblie verse par les champs, la mélancolie des soleils couchant.
La mélancolie berce de doux chants, mon cœur qui s'oublie aux soleils couchants.
Et d'étranges rêves, comme des soleils, couchants sur les grèves, fantômes vermeils
Défilent sans trêves, défilent pareil à des grands soleils, couchants sur les plaines. ''
P.Verlaine

C'était à l'aube qu'Ankis avait décidé de parcourir les grands champs de blé et de mais qui couvraient une grande partie du nord du village. Dans les derniers rayons de soleil, il s'aventura sur le chemin, et, après avoir marché quelques pas, il s'arrêta pour contempler le spectacle. A cette heure tardive, dans un grand ciel dégagé d'été, le soleil avait jaunie le ciel pour lui donner la couleur des cultures, comme ailleurs le bleu du ciel se perd dans celui de la mer, ici le ciel est la terre étaient couleur d'or.
La route sur laquelle il s'était engagé, menait au vieux moulin municipal. Il ne servait plus depuis que la commune avait vu arriver de nombreux meuniers autonomes, mais il était toujours entretenu dans le cas ou la ville connaitrait une pénurie de farine. Ses ailes de toile avaient été retiré, pour éviter que les rudes journée d'hiver ou le froid et la pluie tombent sur la lorraine ne les abiment d'avantage. Les pâles de bois commençaient à montrer des signes de fatigue et ne paraissaient tenir que par la plus petite des attaches. Cependant l'intérieur était autrement plus beau.
La meule était toujours en parfait état, la pierre et le bois propres, et les ustensiles les plus imposants avait été laissé. Derrière le mécanisme et les rouages du moulin permettait de cacher le plus imposant des objets. Il y trouva d'ailleurs quelques écus derrière un cailloux.
A sa droite il trouva un arbre mort au milieu d'un champs en jachère depuis bien longtemps. Son propriétaire n'avaient pas survécu à l'hiver 1455 mais les ennui de successions le privèrent d'entretien, et la jachère devint friche. L'arbre a son tour s'éteint foudroyé à l'automne. Il ne protègera plus les travailleur du soleil estival. Il était malgré tout le refuge de nombre de grive et de corneilles, qui par leurs nombre parvenaient a éloigner les chats de l'arbre. L'arbre était creux et lorsqu'il s'en approcha, il remarqua l'indifférence des sombres oiseaux occupé à hurler. Il plaça dans le tronc sec de l'arbre un nouvel objet avant de se dirigé vers la murailles de la ville au sud.
Après l'affaissement du fossé, la muraille de ce coté-ci s'était en parti effondrée. On avait décidé de la reculer un peu, pour pouvoir lui faire prendre appui sur un sol plus solide. Les pierres de l'ancienne muraille avaient été dans la mesure du possible récupéré, et il ne restait la que des gravats, aligné de sorte qu'on aurait dit un serpent, qui longeait le fossé. Parfois entièrement disparue, d'autre fois presque aussi haute qu'avant, elle décrivait un arc de cercle . De nombreux creux offrait à Ankis la possibilité de cacher un des objet du jeu.
Pour finir son tour des champs, il s'intéressa à un vieil épouvantail, qui n'effrayait plus les oiseaux depuis bien longtemps. Il était immobile et décharné au milieu du champs, le corps constitué de linges et de guenilles qui devaient assurément dater du siècle dernier. Avec la saison assez humide qu'il y avait eu, le mais n'en laissais paraître que le haut. A regarder de plus près l'épouvantail ne ressemblait pas vraiment a un être humain, il n'avait pas de visage, et de ses membres dépassait d'énorme touffes de pailles desséchées. Pas étonnant qu'il ne fasse plus peur. Ankis mis au pied du bonhomme un nouvel objet. Celui-ci sera vraiment dur a trouver pensa t'il.

Il contempla les lieux. Le soleil était maintenant coucher donnant un petit air effrayant à l'arbre mort. Les étoiles s'étaient allumées et brillaient timidement, entourant une lune immense qui annonçait que la nuit serait claire. Au lointain, les flammes des derniers arrivants avant la fermeture de la ville qui se dépêchaient de rentrer luisaient sur le chemin. L'air s'était radoucit. Il pressa le pas vers la destination suivante. Il devait faire vite, car tout devait être près pour demain matin, et il n'avait pour l'instant pas de temps a perdre.
Il pressa le pas en passant a coté du grand arbre, et referma la porte du moulin. Après avoir marcher quelques pas vers le nord, il pris le chemin qui partait à l'est, la ou coulait la rivière.

Zone 2 bleue ( la rivière )

La rivière

Rivière des égards au songe, rivière qui rouille le fer,
Où les étoiles ont cette ombre qu’elles refusent à la mer.
René Char

La nuit était maintenant presque tombée lorsque Ankis parvint à la rivière. Le feu du soleil n'était plus que cendres qui illuminait l'horizon de quelques lumières déclinantes. Les reflets sur l'onde du ruisseau semblaient flotter à la surface, sans se soucier du courant. La rangée de saules rendait le lieu obscurs, et la pénombre ambiante lui permettait de saisir tous les bruits environnants. Le coassement lointain des grenouilles de l'étang, le bruit de la brise nocturne dans les branchages frêles, se mêlaient au clapotis régulier de l'eau qui s'écoulait, en s'écoulant contre le seuil de la rivière.
Le chemin caché par le contrepoint , n'était plus inondé depuis longtemps, la rivière ayant repris son court, avaient permis à de multiples fleurs de renaître au printemps et accompagnait l'eau au long de son périple. Après avoir lutter contre des bataillons de moustiques, Ankis parvint au chemin. Après s'être assuré qu'il était bien seul il cacha le premier objet.
Il se dirigea vers le nord en direction du pont qui permettait à la route de partir vers l'est. Cette route étaient bloquée par les gardes lorrains à quelques kilomètres, et étaient de fait très peu empruntée en ce moment. Le pont avait un inconvénient majeur en matière de commerce, il datait de plusieurs siècles, et prenait appui sur le seuil de la rivière, ce qui ne permettait plus au grand navire marchands de passer au-dessous de l'ouvrage. En contrepartie, cela dégageais de son emprise sur les rives et rendais le sentier plus facile à pratiquer. À l'endroit où le pont entrait dans la pente du lit de la rivière, avait été gravé des sculptures d'anciennes armées, ainsi que des caractères romains et des allocutions latines qu'Ankis ne comprenait pas dans leurs intégralité. Il déposa un nouvel objet sous le pied du pont, caché au pied du lierre qui s'accrochait aux récits de victoires de Rome contre les Germains.
Ankis traversa la rivière et descendit le long de la pente déjà glissante car il venait d'apercevoir l'épave d'une barque frappée aux armoiries du domaine d'Illange. La barque étant bien dissimulée dans les roseaux, Ankis du en plier plus d'un pour y parvenir, ce qui la rendait un peu plus visible à l'œil des passants, mais cela réclamait encore une attention très particulière. Il déposa dans une partie sèche un des objet du jeu et recula un peu plus la barque sur la berge de peur que le courant aujourd'hui faible ne s'emporte plus tard en emmenant dans ses flots la barque et son objet.
Profitant du faible niveau que présentait la rivière en raison des chaleurs de l'été, il s'aventura sur le gué sautant précautionneusement de pierre en pierre jusqu'à atteindre le pied du pont. Celui-ci était beaucoup plus abimé que d'apparent, au point que même la nuit ne pouvait masquer les fissures qui en déchiraient la base. Ankis eut une pensée de soulagement pour toutes les fois où il était passé sur ce pont et une d'inquiétude pour toutes celles ou il aurait encore à s'y aventurer. Il accrocha tout de même un des objet au-dessous du tablier du pont.
Il repris ensuite son chemin en direction du village jusqu'à atteindre la rive. De là il contempla l'ombre du pont avec une drôle d'expression. Il serait bon de le rénover avant les crues de l'automne se dit t-il Puis après un temps de réflexion il décida de longer la rivière en direction de l'étang et du champs des grenouilles de plus en plus bruyante. Il pressa le pas. La végétation luxuriante sur les bords du fleuve témoignaient de l'abondance des pluies que l'hiver avait légué, et débordait allègrement sur le chemin, qui, si cela ne gênait pas le marcheur était difficile pour qui voulait y courir.
La rivière se séparait en deux bras, l'un entrant dans la ville, tandis que le second se dirigeait , comme Ankis vers l'étang de saint dié. Les pins se dressaient maintenant à ses côtés, preuve qu'il approchait de l'étang, et qu'il n'était plus sur le bras principal. La visibilité était vital et les pins de l'autre bras avaient depuis longtemps été coupés. Les pins apportaient de la fraicheur à la scène mais lui cachait la lumière de la lune. Ne voulant pas allumer de torche de peur d'attirer des mauvaises rencontres, il poursuivit dans le noir.

ok ankis sa prend forme ton progé d' animation

Zone 3 violette ( l'étang )

L'étang

Je chante pour passer le temps
Petit qu'il me reste de vivre
Comme on dessine sur le givre
Comme on se fait le coeur content
A lancer cailloux sur l'étang
Je chante pour passer le temps
Louis Aragon

Le chant des grenouilles dans l'obscurité couvrait le bruit des pas d'Ankis. Il ne voyait pas grand-chose car les rayons de lune ne perçaient plus le branchage épais des sapins. Le jeu des ombres lui permettait malgré tout de situé les éléments importants du paysage. Ainsi il distinguait nettement au-milieu des eaux de l'étang l'île en forme de cœur, au milieu du miroir que formait le petit lac, seule partie recevant les lumières sélénites d'un ciel découvert. Il prit le petit pont pour se rendre sur cette île. De là il se rendit au pied du seul arbre qu'elle possédait. C'était un grande saule, dont les racines, en dépassant l'emprise de l'îlot, remontait parfois jusqu'à la surface de l'onde, et donnait l'impression qu'un serpent gigantesque s'était figé la. Il déposa dans ces ramures le premier des objets qu'il avait destiné à l'étang.
Puis après avoir contemplé de manière rêveuse l'arbre et ses racines, il se dirigea de l'autre coté de l'île. L'autre versant du cœur n'était recouvert que de roseaux, et la limite entre la terre et l'eau n'était pas aussi clair que de l'autre partie. La plateforme s'enfonçait en pente progressive. A chaque pas qu'il faisait des grenouilles sautaient pour éviter les bottes d'Ankis. Lorsqu'il mit le pied dans l'eau il fit demi tour. Il déposa un objet dans les roseaux les plus lointains de l'eau, sur une pierre qui ne risquait pas de se trouver immergée.
Il retourna ensuite sur la berge. Il longea le chemin qui serpentait entre les tronc, tout en évitant de s'éloigner trop de l'étang. Ankis s'amusa à lancer des cailloux dans l'eau, et tentait de les faire ricocher jusqu'à atteindre l'île. Il y passa une heure entière. Il n'arrivait pas à atteindre le cœur du lac. Il s'amusa à trouver une morale. Il est impossible d'atteindre le cœur des gens en étant lourd comme une pierre. Peut surement mieux faire. Mais pas ce soir il lui restait encore beaucoup à faire.
Il se dirigea vers le ponton qui s'avançait fièrement sur le lac. Il n'était pas usé par les pêcheur, d'autant que l'étang n'était absolument pas poissonneux. Tout au plus le plus gros poissons ne devait dépassé la livre. Aucune barque n'y était amarrée. Le clapotis de l'eau charrié par les quelques courants d'airs résonnait dans le silence. Les grenouilles se faisaient moins bruyantes après les lancers de cailloux. L'endroit ne prêtait guerre de possibilité de cacher quoi que se soit sinon en dessous du petit banc à la destination des pêcheurs. Ce petit banc était en fait un tronc d'arbre creux. C'est en dessous de celui-ci qu'Ankis cacha son objet.
Il continua ensuite son tour de l'étang. Il craignait un peu de faire une mauvaise rencontre dans cette nuit si sombre. Il n'en fut rien. L'étang était un monument de solitude et de quiétude. A croire que l'un ne peux vivre sans l'autre. Encore une morale ?
Ses pas le menèrent à un lavoir en ruine. Autrefois, lorsque la Meurthe n'était pas encore bien apprivoisée, c'est ici que venait laver leurs linge, les ancêtres des déodatiens de nos jours. Le lavoir était fait de pierre très lourdes, taillé à même la roche. Il était toujours alimenter, et pourrait presque servir encore si l'eau avait été plus claire et la pierre non recouverte de mousse. Il était plus petit que le lavoir du centre. Les tonneaux du lavoir quand à eux ressemblaient plus à du compost qu'a des bac à savon, et Ankis s'en désintéressa presque aussitôt. Il examina la charpente. Elle n'avait pas souffert. Il se décida à cacher un des objets sous la pente du lavoir.
Il du refaire le tour de l'étang dans l'autre sens, laissant les grenouilles tranquilles, pour se diriger vers la colline. Comme il était de plus en plus pressé par le temps, qu'il ne pouvais mesurer sans voir la lune, il décida de couper en traversant la rangée de pins ( et de ronces ) qui séparait le lieu de la route du sud. Après un combat acharné contre la végétation, il sorti plein de griffures et d'échardes. Il s'empressa de rejoindre le sombre contour de la colline qui se dessinait au gré des formes que la nuit révélait. Il mit la main à son fourreau avant de s'engager sur la route à découvert. Les routes étaient l'endroit le moins sur qu'il avait à parcourir ce soir.

la suite la suite

Bon, me voila !

J'ai regardé l'idée de la chasse au trésor, ça va être trop dur à réaliser sans habitants .

Voir bureau du tribun.

Je pense qu'il faudrait attirer les habitants des villages environnants et pas juste se baser sur les nouveaux. Comme pour la course qui avait eu lieu à Epinal. Pour cela il faudrait un prix à la fin.

moomin a écrit:

Pour cela il faudrait un prix à la fin.

Et pour ça connaitre les capacités financières de la mairie...

Lol bah écoute, tu demandes au maire s'il a de quoi financer l'achat d'une échelle par exemple pour le prix. Pas besoin d'avoir le détail. Faites comme vous voulez mais moi je suis pas trop pour le laisser à la vue de tous.

La vue de tous, c'est nous 3, plus Ankis et Perseus. Tu crois que c'est dangereux toi ?