Nous sommes en effectifs plus que réduits au sein de la chancellerie (on est 3), avec des circonstances belliqueuses compliquées ayant suspendu certaines négociations. Toutefois nous avons quelques pistes avec lesquelles relancer sérieusement la machine diplomatique. Histoire de vous en faire le résumé : mon prédécesseur a probablement eu raison de faire le ménage en supprimant tous les parchemins inutiles que la Lorraine avait pu signer par le passé, mais notre diplomatie du coup est quasiment inexistante sur le papier. Outre les banalités courantes, désormais nous songeons tisser de nouvelles alliances conformes à notre combat du moment, je suis donc entrain de programmer des négociations avec des états indépendants, alliés historiques de Lorraine et qui plus est compatibles avec le rattachement à la France, tels que le Royaume d'Ecosse, la République de Venise ainsi que les cantons helvétiques, ceci dans l'optique de peser davantage sur la scène internationale.... plutôt que de se focaliser sur des relations de voisinage. Par ailleurs j'ose espérer que l'on publie bientôt la rupture de concordat ODL. Je pense en revanche que celui avec les Teutoniques devrait être reconduit, car contrairement à la bande à ELektra ces chevaliers se comportent honorablement. Toutefois, avant de signer avec les Teutoniques, il serait crucial d'aboutir dans nos tractations avec Rome et là on peut pas dire que nos interlocuteurs nous ont facilité la tâche jusqu'ici. Nous avons désormais Arnarion au conseil, il est peut-être temps que nous mettons terme à nos tergiversations. Pour moi cela implique une clause inaliénable : le respect de notre Loi Fondamentale ainsi que d'une juste séparation des pouvoirs, sans cela un concordat avec l'Eglise mettrait la Lorraine en péril. Je préconise donc de relancer ce débat une ultime fois et si cela ne donne rien : acter un non-concordat à la mode du Comté de Toulouse.

Et tout ceci, nous comptons l'archiver et le classer à la vue de tous, que ce soit en Grande Galerie, voire à côté des latrines(fofo2) ce qui serait à mon sens plus durable si on songe un jour à déménager nos institutions vers des endroits où ça sent la rose. On pourrait commencer par la chancellerie, ça ne gênerait pas grand monde.

Voilà pour moi la meilleure ligne diplomatique possible pour la Lorraine actuelle, avis visiblement partagé avec mon collègue Caton, mais nous restons évidemment au service du conseil ducal et donc ouverts à toutes remarques et propositions de votre part, notamment du pôle économique au besoin.

Citation :

voilà, le RP est sauf, allez pas vous plaindre que c'est de la "défection"

J'aimerai moi aussi mettre fin à nos différents afin de pouvoir oeuvrer avec productivité, Marquis.

Nous sommes déjà depuis quelques temps en discussion avec la Duchesse en compagnie de l'Archevêque de Besançon auquel ce Diocèse est administrativement rattaché et Son Emienence Aymé Von Frayner. Il est vrai qu'il traîne un peu mais je ne désespère pas de voir le jour bientôt !
Il va falloir nous accorder entre la CAS et le CC afin de produire un bon concordat profitable pour les deux parties.

... Amédée, Dois-je comprendre que vous évoquez la possibilité d'une indépendance ? En ce cas vous savez que l'Eglise est un moyen non negligeable qui vous permettra de l'atteindre et de la conserver. Je vous félicite de l'envisager si c'est le cas.

Donc vous comprendrez que ce que vous dîtes n'est ni profitable pour vous, ni pour nous.

Citation :

un non-concordat à la mode du Comté de Toulouse.

Visiblement l'on avait que peu l'intention d'affronter le chambellan quand il s'agissait de négocier certaines choses.
Il allait donc partir en retraite en espérant que l'on en profiterait pas trop pour faire signer un concordat néfaste.