Comme pour tous les nouveaux ducs, il se devait d'y avoir les allégeances. Malgré ses occupations de primes importances, le Von Frayner n'avait point omis l'une de ses charges qu'était celle de Héraut Impérial de Lorraine, certes il ne pouvait y consacrer tout son temps, mais l'on n'oublie pas ses serments n'est ce pas ?
La salle du trône ducale avait été à peine aménagé, un valet venait de prévenir le Chevalier Impérial, cette fois-ci, il comptait sûr la rapidité de la noblesse Lorraine pour que la cérémonie ne s'éternise pas, contrairement à la dernières fois où elle avait été un peu trop longue à son goût, c'est que resté assis devant à bureau à trier un courrier inlassablement répétitif, ce n'est pas vraiment une joie ...

Il ne manquait plus que l'arrivée du duc ainsi que de la noblesse qui lui devait allégeance, et la cérémonie pourrait enfin commencer.

[Désolé si je n'ai pas envoyer les courriers pour prévenir du début de la cérémonie, je devrais le faire d'ici peu mais disons que je suis relativement occupé (et oui ça arrive d'avoir une vie). Vous êtes priés à participer même si vous n'avez pas encore reçu la fameuse lettre du héraut qui vous convie à venir prêter serment ]

la duchesse qui se trouvait à Annecy ne pouvait faire son allégeance fit donc envoyer un parchemin au nouveau duc

Citation :

nous, Marjolainne de Reaumont_Kado'ch ,

dicte La Loyale, Duchesse de Ligny, Vicomtesse de Saint_Georges et Commandeur de l'Alérion Lorrain,

Vous reconnaissons, Ludwig Von Frayner, comme étant le Duc de Lorraine légitime,

Vous rendons ainsi hommage et reconnaissons par là même l'égalité de la dignité de nos rangs.

Vous prêtons également allégeance pour nos terres de Saint_Georges et vous promettons, à vous nostre suzerain, obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par nos terres de Ligny, nostre allégeance lige va, , à notre nouvel empereur Alveran.

Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors nostre personne se rangera à vos côtés .

fait en ce jour du 6 janvier 1459
Marjolainne de Reaumont_Kado'ch
Duchesse de Ligny

En entrant dans la salle de réception, Floche vit que peu de monde était là ! Il est vrai qu'une partie des nobles les plus réactifs sont en chemin vers la Savoie... Mais non idiote le courrier n'a pas encore été envoyé ! se dit-elle. Elle savait par le Duc que dès le retour du Hérault la cérémonie aurait lieu, mais les autres n'étaient pas nécessairement au courant. Melrikk venait de faire allégeance et Floche se dit qu'elle ferait mieux de le suivre tout de suite avant que le reste des nobles ne provoque un embouteillage... Elle s'avança donc et attendit que le Duc ai répondu à Melrikk.
______________________

Le duc ayant répondu à Melrikk, Floche le laisse s'éloigner avant de s'approcher de Ludwig. Avec un sourire, elle met genou en terre et en regardant le Duc dit d'une voix claire et calme...


Par la grâce d'Aristote et de Christos, nous, Floche de Réaumont Kadoc'h, Vicomtesse de Hattonchâtel, vous reconnaissons Ludwig von frayner Duc de Lorraine légitime notre suzerain, par la grâce des urnes.

Nous déclarons vous devoir respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig von frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions fait et cause pour vous nous y engageons notre honneur.

Qu'Aristote vous garde et vous aide dans votre tâche.

Ella entrant dans la salle et vit déjà des visage connu et attendit que son amie Floche finisse de prêter allégeance et apres sa sera son tour .

Restant en retrait pour pas la dérangé dans son serment et sourit à Floche en leur disant bonjour à tous les deux et attendit son tour pour faire allégeance .

Ella preferait venir maintenant qu'arriver en retard comme j'avais la manie depuis quelque temps de ce pointer bien tard .
Mieux faut que tard que jamais en se murmurant à elle meme ...

Par un certain hasard Constance était passée devant la salle des Réceptions quand Alban la faisait préparer pour les allégeances.
Elle avait donc décidé de faire demi tour et de se changer avant de revenir.

Après avoir enfilé sa dernière robe en date : rouge et verte, elle revint alors à la dicte salle.

Pendant ce laps de temps le Duc était arrivé ainsi que les Toulois Melrikk et Floche mais aussi Ellebasi qu'elle connaissait beaucoup moins.

Elle les salua tous et n'osa pas commencer à parler avec eux. Apparemment la cérémonie avait déjà commencé bien qu'elle n'avait jamais reçu d'invitation. Elle commençait à se demander si les pigeons lorrains arrivaient parfois à bonne destination.

Elle alla donc s'asseoir en attendant que ce soit enfin le tour des Conseillers. Elle savait que l'attente serait longue, surtout toute seule sur son banc. Elle se mit alors à suivre le cours de ses pensées : elle regarda sa robe, sans aucun doute elle lui plaisait... mais elle commençait à en avoir marre de faire faire des tenues à son goût à elle, qui lui plaisait à elle, elle espérait pouvoir se vêtir à nouveau pour un homme.

Apres que son amie Floche est prêter allégeance ,je la laisse se reculer et attendit mon tour en m'avançant lentement juste en face de sa grâce, mettant un genoux à terre d'une voix douce et calme



Par la grâce d'Aristote et de Christos, nous,Ellebasi40 d'Acoma , Dame de grotenquin et de Kerbach, reconnaissons comme suzerain, vous,
Ludwig von frayner, comme étant le Duc de Lorraine légitime, par la
grâce des urnes et vous rendons hommage.

De vous devoir respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig von frayner, Duc de
Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions
cause pour vous.

Qu'Aristote en soit témoin.


Ella attendit en silence que sa grâce le duc réponde

N'ayant pas reçu de messager, elle avait craint d'être en retard quand la rumeur avait courru que le temps de faire allégeance était venu.

Choisir sa plus belle tenue, s'abandonner avec délices aux mains de sa soubrette pour la coiffer, la parer et se faire conduire au chateau.

Elle entre.

*il y a peu se monde. seraient il déjà rerpartis ?*

Elle sourit en voyant Floche et Melrikk, sachant que ces deux là arrivaient dans les premiers, et va les embrasser, fait un petit signe amical à Ellebasi et sourit intriguée devant la présence de la conseillère assise dans un coin, sans faire de commentaire.

la présence de l'évèque de Metz apporte une solennité supplémentaire à cette cérémonie, elle incline brièvement la tête en passant devant lui. Puis remarquant que personne attend son tour s'approche de sa Grace le Duc de Lorraine et plonge dans une une révérence respectueuse en prononçante les mots rituels

Par la grace d'Aristote, nous Barberine, Dame de Florange, Vicomtesse de Dun, en Lorraine, à vous Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grace des urnes
Nous vous reconnaissons comme Suzerain.

Nous vous devons respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium), et affirmons qu'il en serait de notre honneur de prendre fait et cause pour vous si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers.

Que Dieu vous garde et vous guide en vos décisions.

Ceci dit, elle se redresse attendant la réponse du Duc .

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Zahra.2, humble Baronne de Beaulieu-en-Argonne en Lorraine,

à vous, Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Ludwig , Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre assermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer de notre sceau officiel de Beaulieu.

Z . Baronne de Beaulieu-en-Argonne en Lorraine, a écrit et ratifié,

dans un coin coin en Lorraine Vaudémont ou autour 10 janvier 1459


Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen




ps : merci de faire une bonne pichenette viril sur le front de ce qui sert de tête à votre frère,
à l'Héraut qui ne sait pas écrire de convocation , au chevalier qui ne fait pas preuve de discipline !
Il va de soi que j'ai reçu la missive de sa poursuivante d'arme et de ce fait j'ai fait des économies sur le voyage de Vaudémont à Nancy;
j'sais je suis la conseillère la plus sympa avant Liz ! mouhahahaha".

Rosana devait ecrire vite cette missive pour présenter ses escuses d'être absente lors de la cérémonie de l'allégeance. Elle fit appeller un coursier et lui remit le parchemin.

Citation :

Nous, Rosana45 de Beauregard ,de Roquevillard, Dame de Pierrefitte Sur Aire, Dame d'Hommert

A vous, Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine.

En ce jour, vous saluons et écrivons.

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzerain, duc de Lorraine par la grâce des urnes et vous prestons allégeance.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions faits et cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.


Faict à Saint Dié le dixième jour du premier mois de l'an de Grasce mil quatre cent cinquante neuf .

Citation :

De Nous, Cecilia von Wittelsbach-Frayner d'Amilly, Duchesse de Romarimont, Vicomtesse de Charmes & de Laragne-Montéglin, Baronne de Deuilly, de Montauban d’Ouvèze & de Rambervillers, Dame de Cambo & de La Garde Freinet,

A vous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Par la présente lettre, nous vous reconnaissons vous, Ludwig von Frayner, comme suzerain pour nos terres de Charmes, de Deuilly et de Rambervillers. Que nous vous devons désormais obsequium, consilium et auxilium.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Déclarons également que de par nos terres de Romarimont, notre allégeance lige va à Sa Très Gracieuse et Très Aristotélicienne Majesté, l'Empereur Alveran. Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui. Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors notre personne se rangera à vos côtés.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer en personne ce jour.

Faict à Montauban ce quatrième jour du mois de janvier.*




Ps: Nous souhaiterions avoir un entretien privé afin de vous exposer divers projets

* Date du lancement du rp par Alban

Tout juste revenus de sa trêve hivernale, Le jeune Seigneur entra dans la grande salle de réception pour sa première cérémonie d'allégeance. Il observa la manière dont les gens présents procédaient afin de ne pas commettre d'impairs quand son tour viendra.

Une nouvelle missive fut amenée.

Citation :

De Nous, Adrian de Montjoie von Frayner Sevillano, Baron de Viviers et seigneur de Provenchère

A vous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Par la présente, nous vous reconnaissons vous, Ludwig von Frayner, comme nostre suzerain pour nos terres de Viviers. Que nous vous devons désormais obsequium, consilium et auxilium.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Faict à Chalon ce quatrième jour du mois de Janvier¸
Adrian de Montjoie

Citation :

A sa grâce Ludwig von Frayner, duc de Lorraine,

Par la présente, moi, Tristan de Navarre von Frayner de France, baron d'Amance et de Fontoy, poursuivant d'armes impérial pour la Franche-Comté, vous reconnais comme suzerain légitime pour mes terres de Fontoy.

En vous promettant obsequium, consilium et auxilium, je jure de vous conseiller, de vous aider dans votre tâche, et de mettre mon épée à votre service si vos terres venaient à être menacées.

Mon allégeance-lige allant à ma terre d'adoption, la Franche-Comté, de par ma baronnie d'Amance, je prendrais cause pour elle si un conflit armé venait à vous opposer à elle. Si un conflit armé venait à vous opposer à n'importe quel autre tiers, alors je prendrais cause pour vous.


Fait à Saint-Claude, le quatre janvier mil quatre-cent cinquante-neuf

Tristan dNvFdF

[sceau]