Citation :

A sa grâce Ludwig von Frayner, duc de Lorraine,

Par la présente, moi, Afta le Val de Rubempre d'Omaxiphallus, Prince de Commercy, seigneur de Thiaucourt, Filstroff et chatas, vous reconnais comme suzerain légitime pour mes terres de Thiaucourt

En vous promettant obsequium, consilium et auxilium, je jure de vous conseiller, de vous aider dans votre tâche, et de mettre mon épée à votre service si vos terres venaient à être menacées.

A part ca j'ai rien de speciale a dire...


Fait à Epinal le douze janvier mil quatre-cent cinquante-neuf

Afta le val de vous savez quoi

[sceau]

Citation :

Nous, CvF, prêtons, en tant que baron de Château-rouge, allégeance à la Lorraine.

Jurons fidélité, aide, conseil et service armé à son duc Ludwig von Frayner.

Notre hommage lige va bien évidemment à la Reyne de France Beatrice de Castelmaure-Frayner.

Trouvons que ça fait quand même classe de prêter allégeance uniquement à des VF.

Fait à Angers le 13 janvier 1459

La jeune femme, étant retenue au lit, envoya un pigeon pour ses allégences...

Citation :

Nous, Spectralya de Beauregard d'Youville de Champlain, Duchesse de Dabo, rendons hommage au Duc de Lorraine élu , et reconnaissons l'égalité de nos Rangs.

Qu'Aristote nous donne à tous, la force et guide nos pas pour faire de la Lorraine le Duché qu'il mérite d'être.

Nous vous jurons respect (obseqium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Par le fait même, nous renouvelons notre serment d'allégeance envers l'Empereur légitime de Saint Empire Romano Germanique.

Spectralya de Beauregard d'Youville de Champlain,
Duchesse de Dabo

Il est tard , Mél est très occupée depuis quelques temps , elle décide donc d'envoyer une missive pour prêter allégeance au Duc , espérant qu'il ne lui en tiendra pas rigueur

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Melodie Von Strass de Réaumont Kados'ch,dite la Louve ,Baronne d'Ottange, Chevalier de l'Alérion Lorrain en Lorraine,

A vous, Duc ,Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Ludwig von Frayner , Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous,Ludwig von Frayner , Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Mélodie Von Strass de Réaumont Kados'ch , Baronne d'Ottange , en Lorraine, a écrit et ratifié,

Dans la ville de Vaudemont le 17 Janvier de l'an de grâce 1459

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Amen

Cette fois ci trop loi, bien trop loin, à l'autre bout du royaume la petite duchesse rousse envoya son pigeon vers la lorraine

Citation :

Nous, Catalina de Volpilhat, Duchesse deSalm, rendons hommage au Duc de Lorraine élu , et reconnaissons l'égalité de nos Rangs.

Nous vous jurons respect (obseqium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Par le fait même, nous renouvelons notre serment d'allégeance envers l'Empereur légitime de Saint Empire Romano Germanique.
Fait le 18 ème jour de janvier en l'an 1459

Catalina de Volpilhat,
Duchesse de Salm

Constance regardait le défilé des têtes couronnées lorraines... que la liste était longue et monotone. Elle trouvait que tous les noms se ressemblaient aussi bien dans les personnes présentes que dans les missives lues par le Héraut qui d'ailleurs portait lui aussi le même nom ainsi que le Duc...

Elle trouvait le temps bien long, elle attendait que le tour des Conseillers arrivent enfin. C'était d'un ennui mortel : personne pour crier "mort au Duc" comme elle avait déjà pu l'entendre ailleurs, personne pour dire qu'il ne voulait pas prêter allégeance à ce Duc là comme ça c'était fait en Bourgogne... non absolument rien de spécial. Ah si peut-être la CAC accoupie devant le Duc qui risquait bien de donner un frère ou une soeur à sa Prune...

La Vicomtesse, accoucheuse à ses heures regardait la scène, un petit sourire sur le visage. Un accouchement ça ça marquerait les esprits, on se souviendrait de cette cérémonie. Le Duc aida Cyann à se relever et Constance ne put que constater que non ce ne serait pas elle et sa mise bas* qui serait le fait marquant.

Pour un peu l'Artois lui manquerait à la Vicomtesse... Il lui faudrait peut-être y retourner pour se prendre une petite piqûre de rappel et apprécier à nouveau le calme plat de la Lorraine.

Elle prêta un peu attention au Duc de Vittel, encore et toujours le même nom de famille, une ribambelle de titres... il faudrait peut-être qu'elle fasse connaissance avec lui. Oui il faudrait peut-être qu'elle fasse plus ample connaissance avec toute la noblesse lorraine mais pas facile quand on dissocie noblesse lorraine de la noblesse du reste du monde.

Elle tourna alors la tête vers le Duc pour écouter pour la n-ième fois l'accord d'allégeance et les promesses réciproques.

Citation :

Nous, C.G.R, Duc de Noviant et Seigneur d'Abaucourt par le présent pli prêstons allégeance au duc légitime de Lorraine Ludwig vF.

Nous vous jurons obsequium, auxilium et consilium en tout état de cause malgré notre resplendissante entente mutuelle.

Notre allégeance lige restant bien évidemment à Alveran Ier Empereur du SRING et si donc un conflit venait à vous opposer et cætera, et cætera...

Circa Goulard de Rubempré
Duc de Noviant et Seigneur d'Abaucourt

Ludwig von Frayner a écrit:

A destination de Mélodie von Strass de Réaumont Kado’ch,
Baronne d’Ottange et chevalier de l’Alérion lorrain.
Sincères salutations.


Nous, Ludwig von Frayner, duc de Lorraine, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas,

Par cette présente missive, vous accordons à vous,
Melodie von Strass de Réaumont Kados'ch, dicte la Louve ;
Baronne d'Ottange, et chevalier de l'Alérion Lorrain en Lorraine,
Protection, justice et subsistance, et ce, tant que votre serment restera inviolé.

Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d’œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.



Faict à Nancy le Dix-neuvième jour du mois de Janvier de l'an d'Horace MCDLIX.

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Ludwig von Frayner a écrit:

A destination de sa grasce Catalina de Volpilhat, duchesse de Salm.
Salutations distinguées.


Nous, Ludwig von Frayner, duc de Lorraine, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas,

Par cette présente missive, vous accordons à vous, Catalina de Volpilhat, Duchesse de Salm ;
Protection, justice et subsistance, et ce, tant que votre serment restera inviolé.

Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d’œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.



Faict à Nancy le Dix-neuvième jour du mois de Janvier de l'an d'Horace MCDLIX.

-------

Ludwig von Frayner a écrit:

A destination du très modeste Circa Goulard de Rubempré ;
Duc de Noviant et Seigneur d'Abaucourt.
Salutations.


Nous, Ludwig von Frayner, duc de Lorraine, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas,

Par cette présente missive, vous accordons à vous,
Circa Goulard de Rubempré, Duc de Noviant et Seigneur d’Abaucourt ;
Protection, justice et subsistance, et ce, tant que votre serment restera inviolé.

Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d’œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.



Faict à Nancy le Dix-neuvième jour du mois de Janvier de l'an d'Horace MCDLIX.

Une fois les missives envoyées, ce fut au tour de son cousin Mun, de se présenter.
Dès que son serment fut prononcé, le Duc répondit :

" Mun von Frayner von Strass, Vidame de Trèves, Duc de Vittel et seigneur de Montigny, Commandeur de l’ordre de l’Alérion lorrain, etc… , sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas, saint patron de notre Duché,
Moi, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d'œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.

Il laissa son cousin se relever, puis se tourna vers Alban. Il était temps de faire le point.
Le temps commençait en effet à devenir bien long... Trop long. Ce qu'il pouvait détester les cérémonies.

" Alban, où en sommes nous ? Reste-t-il encore des nobles qui n'ont pas prêté serment ? "

Une missive arrivant de Genève arriva directement à héraut. Cette missive était écrite tel qu'elle.

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Niconoss, dict "le devoué", humble Baron de Forbach et Seigneur de Manonville en Lorraine,

à vous, Ludwig, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Ludwig, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ludwig, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que de part mes anciennes fonctions impérial, nous renouvelons notre allégeance qui prime sur tout autre a notre Empereur Alveran, a qui nous donnons notre épée, et toute notre détermination.
Et que si un conflit venait vous opposez vous, Ludwig, Duc de Lorraine, a l'empire ou a l'empereur, nous prendrions fait et cause pour ce dernier.


Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Profitons également de cet allégeance pour faire part comme nous vous l'avions déjà annoncer par mésange, que nous avions répondu à la levée de ban lorrain en étant présent en Alençon.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Niconoss, Baron de Forbach, Seigneur de Manonville en Lorraine, a écrit et ratifié,

Le 18 Janvier à Genève.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Il était plus que temps qu'ils y aillent ; avec un peu ils finiraient bons derniers. Mais soit, valait mieux en retard que pas du tout.
Le voyage depuis Herbéviller avait été ... long. Non point qu'il s'ennuya avec Sybille, bien loin de là, mais c'était surtout cet infâme carrosse qui lui donnait la nausée. Lorsqu'il en sortit, on eu pu croire au retour du mort-vivant, pâle comme un linge, il gravit les marches du castel - fort heureusement, il ne s'enflamma pas à la lueur du soleil, ce qui rassura l'assemblée sur son état. Certains disaient que le vin de messe se transformait en sang, alors hein, de là à s'imaginer "des choses", il n'y avait qu'un pas.
Mais il avait le coeur assez bien accroché au demeurant, 'fallait dire qu'il était assez pieu - ce qui était normal pour un homme d'église ...

La main dans celle de son épouse, les doigts entrecroisés, ils arpentèrent les couloirs du Castel jusqu'à la Salle Ducale ; bien évidemment, ils rencontrèrent moult domestiques, hommes d'armes et ne manquèrent pas de saluer chacun, allant jusqu'à prendre des nouvelles de certains ... car même si ils faisaient partie de la haute noblesse et étaient issus tous deux de famille nobles, ils étaient restés proches du peuple et pour eux, un citoyen, quelque fut son rang avait droit au même respect et à la même considération.

Un peu avant de rentrer, il s'arrêta, posant son regard azur sur le visage de la Duchesse d'Herbéviller ; remontant sa main, il lui caressa la joue et sourit.
Sa respiration s'accéléra tandis qu'il se noyait dans la profondeur bleutée de ses yeux si clairs ... ils n'avaient pas besoin de mots pour dire leurs sentiments qu'ils lisaient l'un dans l'autre chaque jour que Dieu faisait.
Véritable ode à l'Amour, ils seraient ainsi restés des heures, contemplatifs, si un commis ne les avait invité à entrer.

Ensemble, ils pénétrèrent ainsi dans la salle ; ils saluèrent les personnes présentes et se dirigèrent vers le trône ducal.
Uriel s'inclina légèrement, comme le voulait la coutume, puis s'adressa à Ludwig :

Par la Grâce de Dieu, omniprésent, omniscient et omnipotent,

Moi, Uriel de Réaumont Kado'Ch, Duc d'Herbéviller, Baron de Chambley et de Dombasle, Écuyer de l'Alérion Lorrain, vous reconnais, Ludwig von Frayner comme légitime Duc de Lorraine.

Je vous rend ainsi respect dû à votre rang, et vous prête dès à présent concilium, obsequium et ... auxilium ; je tiens cependant à préciser que mes charges cléricales ne me permettent pas de prendre les armes ni d'être intégré à une armée, à moins que cette dernière fût Sainte.

Que l'allégeance due par mes terres de Chambley et de Dombasle, que si un conflit venait vous opposer vous, Duc de Lorraine, à un tiers, je prendrais cause pour vous.
Sachez néanmoins que mon allégeance due par mes terres d'Herbéviller va à l'Empereur Alveran, que si un conflit devait éclater entre notre bien aimé Empereur et la Lorraine je prendrais cause pour lui.
Et enfin, en tant que Clerc de la Très-Sainte Église Aristotélicienne, mon allégeance lige va à Rome, que si un conflit survenait entre elle et vous, ma cause irait rejoindre l'Immortelle Cité.

Il se tourna alors vers son épouse, afin de la laisser parler, à son tour.

Un simple courrier puisque le duc le préférait.

Citation :

Nous, Sabifax de Beauregard , Vicomte d'Arches,Baron de Wiesviller et Seigneur d'Essegney

A vous, Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine.

Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzerain, duc de Lorraine par la grâce des urnes et vous prestons allégeance.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions faits et cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.


Fait à Vaudémont le 20eme jour du premier mois de l'an de Grasce mil quatre cent cinquante neuf .

Sabifax de Beauregard.

[sceau]

Bambou étant très occupée en ce moment, préféra envoyer un courrier au Duc

Citation :

Nous, Bambou de Réaumont Kado’ch Von Strass dite « la discrète », Duchesse de Neufchâteau, Vicomtesse d’Ancerville sur Meuse, Dame d'Avricourt, de Charny et Commandeur de l’alérion lorrain.

Vous reconnaissons vous, Ludwig Von Frayner, comme étant le Duc de Lorraine légitime,

Nous vous prêtons allégeance et reconnaissons par la même notre état de vassalité.

Vous prêtons également allégeance pour nos terres d’Ancerville sur Meuse et vous promettons, à vous notre suzerain, obsequium, auxilium et
consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par nos terres de Neufchâteau, notre allégeance lige va, comme elle l'a toujours été, à notre Empereur Alveran.

Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Fait à Neufchâteau
le 21ème jour du 1er mois de l'an gràce 1459

Lorsque Sybille eut achevé de prêt allégeance, Sébastien s'avança un sourire. Il adressa un sourire à son maie, regrettant de ne la voir que trop rarement ces derniers temps, avant de s'avancer vers le Duc.

Nous, Sebastien de Belrupt, vicomte de Chatenoy, baron de Belrupt et Commandeur de l'Alérion Lorrain, nous vous reconnaissons comme suzerain, duc de Lorraine par la grâce des urnes et vous prestons allégeance.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions faits et cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes. Il se retira ensuite pour laisser place aux suivants.

Les heures passaient. Personne. Et le silence de son frère commençait à l’exaspérer.
Et le verre qu’il tenait à la main, le butinant épisodiquement ne suffisait plus à le faire tenir.
Notre bon Duc s’apprêtait donc à retourner dans son bureau lorsqu’il assista à l’entrée du couple le plus populaire de Lorraine...
Uriel et Sybille. Volant sur un nuage de bonheur et de gaieté, ils traversèrent la salle de réception et arrivèrent jusqu’à lui… Le laissant coi.
Se ressaisissant, il gratifia leur présence d’un sourire, et les salua dignement :

" Bien le bonjour à vous, chers cousins. "

Le verre qu’il tenait dans la main fut de nouveau confié au domestique. La cérémonie pouvait reprendre.
Tout s’enchaina très vite. Uriel fut le premier à prêter serment. Ce à quoi, il répondit :

" Uriel de Réaumont Kado’Ch, Duc d’Herbévillier, Baron de Chambley et de Dombasle, Ecuyer de l’Alérion Lorrain, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas, saint patron de notre Duché,
Moi, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, par la grâce des urnes, vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d'œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine. "

Puis se fut autour de sa cousine de se prosterner. Allez hop. On répond.

" Sybille von Frayner d’Azayes dicte La Douce, Duchesse d’Herbévillier, Baronne de Chambley et de Dombasle, Commandeure de l’Alérion Lorrain, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas, saint patron de notre Duché,
Moi, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, par la grâce des urnes, vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d'œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine. "


Alors qu’il allait répondre aux missives qu’on venait de lui transmettre, il vit arriver le Vicomte de Chatenoy. Allez hop, tirs groupés. Il reposa provisoirement les courriers et déclara, à la suite de l’allégeance de Sébastien :

" Sébastien de Belrupt, Vicomte de Chatenoy, baron de Belrput et Commandeur de l’Alérion Lorrain, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas, saint patron de notre Duché,
Moi, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes, vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d'œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine. "

Cela étant fait, il s’attacha à répondre aux lettres de Sabifax et de Bambou.

Ludwig von Frayner a écrit:

A destination du CAM de Lorraine, Sabifax de Beauregard,
Vicomte d’Arches, Baron de Wiesviller et seigneur d’Essegney.
Franches salutations.


Nous, Ludwig von Frayner, duc de Lorraine, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas,

Par cette présente missive, vous accordons à vous,
Sabifax de Beauregard, Vicomte d’Arches, Baron de Wiesviller et Seigneur d’Essegney ;
Protection, justice et subsistance, et ce, tant que votre serment restera inviolé.

Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d’œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.


Faict à Nancy le Vingt-quatrième jour du mois de Janvier de l'an d'Horace MCDLIX.

Ludwig von Frayner a écrit:

A destination de sa grâce Bambou de Réaumont Kado’ch von Strass, Duchesse de Neufchâteau ; Vicomtesse d’Ancerville-sur-Meuse, Dame d’Avricourt et de Charny, Commandeure de l’Alérion Lorrain ;
Sincères salutations.


Nous, Ludwig von Frayner, Duc de Lorraine, sous le regard du Très Haut et de Saint Nicolas,

Par cette présente missive, vous accordons à vous,
Bambou de Réaumont Kado’ch von Strass dicte « La discrète », Duchesse de Neufchâteau ;
Vicomtesse d’Ancerville sur Meuse, Dame d'Avricourt, de Charny et Commandeure de l’Alérion Lorrain ;
Protection, justice et subsistance, et ce, tant que votre serment restera inviolé.

Qu'Aristote vous garde et vous aide à continuer d’œuvrer pour le bien, la grandeur et la prospérité de la Lorraine.


Faict à Nancy le Vingt-quatrième jour du mois de Janvier de l'an d'Horace MCDLIX.

Une nouvelle lettre arriva présentement et un peu tardivement en salle d'allégeance.

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Promether Von Strass Réaumont Kado’ch , Seigneur de Charny en Lorraine,

A vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Bonjour.

Par la présente lettre, nous vous reconnaissons comme suzerain vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Nous, Promether Von Strass Réaumont Kado’ch , Seigneur de Charny en Lorraine, a écrit et ratifié ce serment à Nancy, le 26 Janvier 1459.
Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Enfin sortie de son repos forcé après mon séjour à l'Hospice.
Sitôt rentrée chez moi je pris la plume pour m'adresser au Duc de Lorraine

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Hathor de Réaumont Kados'ch, Baronne de Girecourt, Commandeur de l'Alérion Lorrain, en Lorraine,

A vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Bonjour.

Par la présente lettre, nous vous reconnaissons comme suzerain vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Sa Grâce Ludwig Von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Nous, Hathor de Réaumont Kados'ch, Baronne de Girecourt, Lorrain, en Lorraine, a écrit et ratifié ce serment à Epinal, le 28 Janvier 1459.
Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.