[Gestion] Souveraineté de Bolchen ???

Sujet: [Gestion] Souveraineté de Bolchen ??? Sam 1 Oct 2011 - 16:25

Je porte à votre attention un échange ayant eu lieu à la Hérauderie Impériale

Citation :

A Sa Magnificence Erine von Riddermark de Sparte, Maréchal d'Armes Impérial,

Ma tante, mes hommages,

Nous, Jade de Sparte von Frayner, Duchesse de Blâmont et de Vittel, Dame d'Autrey-lès-Gray, de Baccarat et de Châtenois, actuelle Duchesse de Lorraine élue par les urnes... du moins cela se verra confirmer pour un second mandat demain, souhaitons quelques explications.

On nous rapporte que le Héraut ès Généalogie aurait dans la succession nobiliaire parlé de feu Sa Majesté Guise von Frayner comme Souverein de Bolchen. Vous vous en doutez, la Lorraine ne reconnait point telle souveraineté sur ses terres. Qui plus est, on me rapporte que son fils employerait les mêmes mots pour se décrire

Citation :: Son Altesse Royale Charlemagne Henri Lévan Von Frayner-Castelmaure, Prince Royal de France, héritier des Terres Souveraines de Bolchen & de Baudricourt, de la Baronnie de Thuillières...

Citation :: Son Altesse Royale, Souverain de Bolchen....

Puis-je demander à ce que cela soit rectifié ? De toute évidence, le titre est faux et ne peut être utilisé sans que la Lorraine et sa Régnante en soit outrée.

Veuillez agréer mes sentiments respectueux

Jade de Sparte Von Frayner, Duchesse de Lorraine
Faict au Castel de Nancy le 30ième jour de septembre de l'an de Grasce MCDLIX.

Citation :: A Jade de Sparte-Frayner, Duchesse de Lorraine,

Ma nièce,

Ce soit-disant titre ne signifie rien en nostre Saint-Empire. Il est un fait que, depuis son octroie d'un duché de retraite, feu Guise Von Frayner, s'est toujours prononcé comme le souverain de son duché.
Et Aristote sait combien de fois, nous avons dû lui rappeler aucun duché n'était souverain en nos terres impériales.

Une rectification et un rappel au devoir seront fait à son successeur.

Qu'Aristote soit avec vous pour vos élections.

Bien à vous,

E.v.R

Spoiler:

Charlemagne_vf a écrit:

Un problème...soit, l'on descendit du Carrosse et la troupe fut ramenée dans l'alcôve des généalogiste, l'on relata la cause du litige, et si Charlemagne ne comprenait pas franchement ce qu'il lui était reproché, sa suite, placée en pleine servitude de Guise Von Frayner savait ce qu'il convenait de faire, et la même gouvernante qui avait annoncé le Prince Royal déballa de son portefeuille de longs vélins.

Votre Magnificence.

Elle en présuma au vu de ses armes et caducées.

Il convient sans doute de vous rappeler quelques faits immémoriaux, et vous apprendrez que non seulement, Bolchen est bien souverain dans la mesure où un Duc est souverain en ses terres, et dans celle où il rend hommage à l'Empereur en personne, mais que la Vicomté de Baudricourt l'est aussi.

Laissez-moi je vous prie développer mon raisonnement tout à fait officiel, et acté d'actes scellés, parce que si, il y a eu reconnaissance, et même institution d'une coutume, qui ne saurait souffrir de rétroactivité.

Tout a commencé par un fait simple, et jamais démenti depuis (ce qui en soi, constitue ce qu'on appelle ici l'usage et donc la création de la coutume) : Guise n'a jamais prêté allégeance qu'à L'empereur LJS. Guise, depuis qu'il a été fait baron de Baudricourt, puis le mandat à suivre Duc de Bolchen, a donc toujours prêté allégeance à LJS. Guise depuis qu'il est noble, a donc toujours prêté, comme l'usage le veut (et si vous voulez un fait il y a ce qu'on appelle l'acte constitutif de César premier duc-régent de Lorraine légitime) un serment d'hommage, dit en marche à la Lorraine.
Vous savez ce qu'est un hommage en marche, évidemment.

N'était-elle pas grand manitou de la Hérauderie Impériale ?

Tous ces serments ont TOUS, sans aucune exception, je dis bien sans aucune exception été acceptés par TOUS les ducs et duchesses, ainsi que tous les responsables héraldiques depuis 3 ans concernés.
Et je ne parle pas d'un ou deux serments. Mais de dizaines (sur quasi 4 ans de jeu. C'est ce qui aussi, bien hrp que rp s'appelle l'usage, devenu coutume, et fait héraldique accepté.)

Ensuite pour faire bref mais pertinent. Lorsque la duchesse bambou a trahis les devoirs du serment réciproque à mon égard, il y a eu ce serment:

Citation :: Serment héraldique à l'encontre de Bambou, alors duchesse de Lorraine

Le Souverain de Bolchen, sortant de sa retraite -forcée- au monastère, vint dans la salle de cérémonie. La félonne à la constitution, qui avait pris le contre-pouvoir lorrain par la force, qui l'avait mis en procès illégalement, démontrant comme il l'avait déjà démontré à moultes reprises, l'incompétence juridique qui la caractérisait elle et sa clique, celle qu'il avait reniée avec sa mère, celle qui salissait son nom, se tournait en ridicule partout où elle passait, réussissant le tour de force de faire un mandat plus minable encore que la duchesse Joséphine, qui pourtant avait déjà atteint en soi, les profondeurs abyssales de l'incompétence crasse.

Alors le vieux souverain, tout sourire, arriva dans la salle du trône, et, se tournant vers l'immense portrait représentant leur Empereur LongJohnSilver, Son Unique Suzerain, comme le fit la Duchesse Enorig D'azayes en son temps sous le mandat de Joséphine, celui-ci prit parole:

Nous Guise Von Frayner, Duc de Bolchen, Vicomte de Baudricourt;

Légiférateur de l'État lorrain depuis octobre 1455, et garant au sein de la HAL, -contre pouvoir que l'administrée Bambou57 a usurpé par la force je le rappelle- , depuis des années, de l'Ordre hiérarchique établit et du respect des règles en Lorraine, et en Saint Empire francophone, aussi bien à la hérauderie dite impériale lors de la réforme de ses statuts, que partout où nous avons posé pied, afin de rétablir le lien direct qui unit chaque province et chaque noble de Haut rang à Vous, chère Majesté impériale, et non aux usurpateurs de votre autorité.

Nous, n'étant point un noble couard ou félon, et ayant toujours affiché ouvertement quoi que nous ayons pu faire durant notre vie.
Nous, restant jusqu'à notre dernier souffle fidèle à la Lorraine, à son Etat, à Notre Empereur, et à l'Ordre hiérarchique établit que nous avons participé à construire, et que Votre administrée dénommée Bambou57 bafoue chaque jour que Dieu fait depuis son accession à un trône qui, par ses actes, démontre qu'il est bien trop grand pour elle.

Nous, Haut noble de mérite lorrain, président légitime du contre pouvoir d'État en charge de veiller sur notre Honneur et de toutes nos forces quant au respect des règles de notre constitution et droit institutionnel, poursuivi dans le cadre d'un procès illégal, motivé par la stupide envie de vengeance, et de méconnaissance du droit, qui ne sait pas ce que loi martiale, exclusion sans préavis, et connaissance juridique veut dire, qui justement pousse la dite administrée, à me mettre en procès au nom d'un motif fallacieux et illégal. Procès où mon droit de monastère a été déjà bafoué.

Nous Chef de la famille Von Frayner, plus grand propriétaire terrien de Lorraine;
Nous chef de Notre Maison, où nombre de ses membres ont également étaient mis en procès pour des motifs fallacieux, à savoir la seule amitié et déférence qu'ils me portent; condamné pour certain, par un conseil incompétent, inconstitutionnel qui se permet de violer la charte du Juge, que vous même majesté impériale, conjointement à votre égal le Roi de France, avaient ordonné de respecter sous peine de faire bruler les coupables, sur le bucher de votre droit d'inquisition personnel.

Nous, chère majesté impériale, devant Votre Saint Portrait, et Votre Image Sacrée dans ce qu'elle représente, déclarons que:

Pour Notre Vicomté de Baudricourt, du fait que la duchesse se soit rendu coupable de fait, de parjure envers la constitution qu'elle se devait pourtant de défendre sur sa responsabilité pénale, quelque soit ses inimitiés personnelles ou politiques; coupable d'offense grave à l'Ordre hiérarchique établit en s'en prenant au président du contre pouvoir, aux bâtisseurs et légiférateurs de Lorraine; qui veillait à ce que celle-ci respecte les dites règles.
Ainsi, par l'ordination de notre mise en accusation, faisant suite au rétoquage de ses textes illégaux et inapplicables de fait par la hiérarchisation du corpus juridique lorrain inscrit dans la constitution, son témoignage fallacieux à charge à notre encontre s'adjoignant avec sa mère à sa cabale personnelle à mon encontre;

La dite Bambou57 a brisé les devoirs héraldiques de Justice et Protection astreint par sa fonction de duchesse de Lorraine envers le propriétaire de la terre de Baudricourt, la rendant félonne à ses devoirs.

Dès lors, par cette rupture d'engagement, Baudricourt se voit dans l'obligation d'acter ces deux serments:

Le premier, est que cette terre, quel qu'en soit les usurpateurs ayant le trône ducal provisoirement entre leurs mains, jusqu'au dernier souffle du dernier homme, qu'il soit son propriétaire jusqu'à son plus petit soldat ou membre du personnel, apportera sa plume, son esprit et son bras armé au service de la Lorraine contre quiconque, lui veut et lui fait quelque mal en quoique ce soit.

Le second, est que Nous, du fait des devoirs héraldiques et vassaliques brisés précédemment cités, par la duchesse de Lorraine, nous voyons dans l'obligation, de la placer (Baudricourt) sous la protection armée directe de Notre Unique suzerain, Vous, Notre Empereur LongJohnSilver, à qui la dite duchesse de Lorraine doit obéissance en toute chose.
Au nom des liens vassaliques qui unissent notre personne à Vous Majesté, nous en appelons donc à votre concours armé et votre soutient contre quiconque voudrait violer indûment l'intégrité de notre territoire.

Pour ce qui est de Notre Duché de Bolchen qui n'a de suzerain, que Notre Empereur, compte tenu des faits précédemment cités, compte tenu des règles héraldiques fondamentales, nous ne rendrons pas d'hommage en marche -le seul qui puisse être fait éventuellement dans le cadre de la haute noblesse à un égal en terme de rang- à la dite Bambou57.

Et renouvelons, comme depuis toujours, notre allégeance, à Notre unique suzerain, Notre Empereur LongJohnSilver.

Ceci fut héraldiquement impossible à contredire, et fut de fait accepté.
Ensuite, Guise a imposé à la Lorraine un traité de paix à la Lorraine, sous le Duc Circa, comme l'usage héraldique le justifiait. Je ne l'ai pas sous la main ici, mais il doit encore se trouver facilement dans la dite grande galerie.
A défaut, il se trouvera en gargote Lorraine.

Puis, Pirlet a rompu la dite paix et de facto ses devoirs héraldiques à l'égard de Guise en le faisant condamner puisqu'il n'avait pas cédé à son chantage. (ça s'appelle défaut de Justice et protection, pour rappel, et héraldiquement-parlant, c'est gravissime.)

Puis s'en est suivit la guerre, de longs mois de retraite sans discontinuité surtout, jusqu'au mariage de Béatrice et de Guise.

Ensuite il y a eu ça qui ré-explique et reprend absolument toute l'explication en détail :

Citation :: Nous Guise Von Frayner, Souverain de Bolchen et Vicomte de Baudricourt, déclarons à destination de la hérauderie dite impériale et par voie de conséquence au présent et futurs ducs lorrains, par la présente que :

De par la nature de Notre Terre de Bolchen, à savoir un « duché de retraite » sous unique allégeance due à l’empereur LJS, Bolchen est de facto une province autonome au même titre que n’importe quel duché « In Grabatus » de la zone dite du « Saint Empire Romain Germanique ».

Ainsi, les règles inaliénables héritées de l’Histoire et de la tradition des protocoles héraldiques (et ce, pour ne citer que l’exemple de la Lorraine, depuis le serment d’hommage en marche de son premier duc fondateur, créateur de la Coutume Lorraine à savoir feu César de la Tour, Duc du Bar), veulent que les grands nobles entre eux (par exemple grands Ducs, Princes etc.), qui s’estiment de la même dignité de rang, se rendent un hommage dit « en marche », à la limite de leurs frontières respectives, reconnaissant ainsi « l’égalité de la dignité de leur rang ».

Usage qui assure le temps de l’effectivité du serment, la paix entre les dites terres de leur suzerain, ou encore le témoignage de la fin d’un conflit armé entre eux. C’est donc une grande marque de respect « héraldique », autant qu’un acte politique et diplomatique de première importance.

Ce serment n’est en rien une obligation, un devoir, mais un usage librement ou stratégiquement consenti par les deux parties. Deux grands nobles qui ne se prêtent pas serment d’hommage en marche ne sont pas pour autant en guerre.
De même que ceci n’entraine pas de facto un conflit armé entre les parties concernées.

Néanmoins, lorsque deux parties se sont engagées mutuellement à se prêter un hommage en marche, et que l’une des deux, par x raison, s’y refuse finalement alors que la dite cérémonie a déjà débutée, (le fait de revenir sur sa parole) alors il s’agit ici de ce qui peut être définit sous le terme « d’indignité », d’« offense » faite à l’honneur de l’autre partie contractante.
Et entrainer, de par le caractère naturel belliqueux de la Noblesse (une offense faite à l’honneur d’un noble est la pire atteinte qu’il puisse connaitre. Son honneur est son bien le plus précieux. Sans honneur, sa vie n’a aucune valeur.
Or, guerroyer, mourir pour celui-ci est la plus grande des fiertés pour la Noblesse.), un conflit armé entre les deux parties.

Il en va de même pour le cas où, alors qu’un hommage quel qu’il soit (dans le sens de reconnaissance de l’égalité de la dignité de rang ou celui, non spécifique, d’allégeance) a été fait, l’une des parties viole son serment, en attaquant les intérêts ou l’intégrité (physique ou morale) de l’autre. La dite partie devenant donc félonne envers ses devoirs, responsable du conflit et se vautrer dans le déshonneur le plus complet d’un point de vue de l’usage héraldique.

De par la pure logique donc, deux grands nobles en guerre l’un contre l’autre, à moins de vouloir « faire la paix », ne se prêteront pas d’hommage en marche, et continueront ainsi leurs actes d’hostilité armés jusqu’à ce l’une ou l’autre partie remporte une victoire militaire décisive obligeant l’autre, de facto, à l’allégeance.

Dès lors, pour la sphère du Saint Empire Germanique, les ducs de retraite entre eux, ainsi qu’avec les ducs/comtes en fonction In Grabatus dans cette même zone d’habitation, PEUVENT se présenter ce type d’hommage bien spécifique entre eux, en ayant bien à l’esprit le fait que ceci n’est en aucun cas une obligation.

Tout autre « serment » entre grands Nobles de même dignité de rang, qui serait unilatéralement exigé en Empire, ou pire, imposé par une des parties sans le consentement de l’autre partie (le tout précédemment définit), n’est qu’au pire un manque de respect délibéré qui ne sera suivit d’aucun effet, au mieux le fruit de l’imagination débordante de certains ignorants des usages, règles et autre actes historiques, et donc existants dans l’Histoire, la réalité et la vérité héraldique, et qui, ici aussi ne peut être suivit d’aucun effet.

Et donc, ce fruit de l’imagination ne pourrait être d’aucune valeur puisque n’existant pas dans la réalité de ce qui définit et signifie "l’héraldisme" dans notre sphère d’exercice. Cas contraire, nous ne sommes plus dans l’ordre de l’héraldique, mais de la divagation, du délire pur et simple. Il en va donc de la responsabilité de l’Hérauderie compétente d’appliquer ce qui existe, ce qui est, et non pas le fruit d’un fantasme d’ignorant(s).

Ou sinon il ne nous reste plus qu’à avancer dans des voitures qui n’ont plus besoin de chevaux pour rouler au 15ème, ou bien encore pour voler vers des étoiles invisibles en cette année de 1458… pure débilité d’esprit dément.

Ainsi pour ma terre de Bolchen:

Je renouvelle comme de juste, mon serment d’allégeance vis-à-vis de Notre Empereur LJS, Notre unique suzerain ;

Considérant la condamnation illégale dont nous avons été victime au sens de la Loi lorraine, la seule ayant été votée et approuvée par les conseils et HAL à l'unanimité de leurs voix ;

Considérant donc notre statut de victime dans cette affaire, suite au fait d'avoir été condamné de manière outrancière, pour des motifs fallacieux, sans pouvoir nous défendre du fait de notre retraite, malade à l'agonie, dans le coma au sein du monastère de sa Sainte Mère l'Église; qu' ainsi nous avons été indignement traité, de la façon la plus irrespectueuse et tyrannique qu'il soit par un juge pour l'heure encore Duchesse de Lorraine, dans un Etat de non-droit depuis la prise de force illégale et illégitime du duché de Lorraine à l'initiative du triste petit Selee; constitutif d'un acte de haute trahison à la fois envers la Lorraine, son Etat de Droit et son Histoire ;

Considérant que cet acte -digne d'une véritable "chasse aux sorcières", d'un procès politique de régime à Notre encontre, alors que nous n'avons pour seul crime d'avoir accepté d' appliquer la Loi et de satisfaire aux responsabilités qui étaient les Nôtres en tant que Primus inter Pares de la HAL-, a bafoué à la fois Notre honneur et Notre intégrité, et violé les devoirs OBLIGATOIRES de protection et de justice de quelque duc de Lorraine que ce soit vis à vis des nobles issus de la Lorraine ;
(En effet, nul n'est censé ignorer, que l'État de Noblesse, est un esprit de corps, une communauté dont les membres sont inter-dépendants entre eux, et où les droits et devoirs ne vont pas que dans un seul sens: ceux-ci sont mutuels et se doivent donc d'être mutuellement respectés: cas contraire entrainant une "rupture de contrat", rupture du serment héraldique qui les lie entre eux. Entrainant, comme explicité précédemment, un conflit entre les deux parties en présence, qui se règle par le fer et le sang tant que la paix n'est pas mutuellement conclue à nouveau, par le fait de la mort d'une des parties, de l'écrasement de l'une par l'autre, ou de négociations et engagements contractés entre les deux.)

Considérant donc de facto que celle-ci a violé son serment héraldique au nom de la Lorraine (en effet, celle-ci incarnant la force publique de l'État lorrain de par sa charge In Grabatus), puisque jamais Nous n'avons eu de sa part de mot d'excuse privé ou publique, reconnaissant l'ignominie de l'injustice et du défaut de protection de la Lorraine à Notre égard ;

Considérant donc de facto que la dite duchesse avec son prédécesseur a brisé à la fois le traité de paix liant la Lorraine à Bolchen depuis que le Duc Circa de Rubempré alors en exercice, a exprimé par le biais de nos serments d'hommage en marche respectifs il y a de cela de nombreux mois, la Réconciliation;
ayant eu le courage de reconnaitre, lui, publiquement et contractuellement, dans l'honneur et dans une démarche d'apaisement et de fin de l'État de non-droit d'alors, l'illégalité et la félonie exercée à l'encontre des Institutions, de son Droit et de Notre personne sous le mandat de la Duchesse Bambou -lors duquel celui-ci était le Juge Nous ayant condamné par pure velléité de rétorsion politique d'un régime s'étant confondu dans l'illégalité et la tyrannie la plus complète ;

Considérant que depuis, par grave souci de santé connus de tous, nos actions sont devenues plus que sporadiques et limitées, et pour le bien être supérieur de la Lorraine, nous avons unilatéralement fait preuve de magnanimité en préférant laisser de côté nos lourds différends en ne nous vengeant pas ;

Bolchen ne prête pas, pour l'heure, un serment d’hommage en marche à la dite-duchesse de Lorraine élue, ne reconnaissant ainsi donc pas, par la même, l’égalité de la dignité de nos rangs.

Si celle-ci désire la paix, et retrouver ne serait ce qu' un esprit de concorde avec Nous, par la voie d'une solution "par le haut" pour chacune des parties, à l'égal de la procédure sous la magistrature du Duc Circa, elle sait ce qu'elle doit faire, puisque je l'ai précédemment exprimé dans ces lignes.
Et si elle ne sait par quel moyen Nous joindre rapidement afin de "décanter la situation", alors je le lui réponds sans détour qu' elle se mette en rapport avec mon Dauphin et Chambellan, le Duc de l'Aigle Chlodwig Von Frayner d'Azayes, ou bien ma fille adoptive la Duchesse Victorine Von Frayner eut égard à ses responsabilités et fonctions au sein de la dite Hérauderie impériale.

Déclarons également, que nous n'avons aucune animosité particulière "à priori" envers le(s) futur(s) duc(s) de Lorraine le temps où il(s) est/seront en fonction, que ce n'est donc qu'à l'aune de leur respect ou de leur violation vis à vis de leurs devoirs héraldiques à Notre égard, que nous agirons en conséquence à notre tour, à leur égard.

Par ailleurs, pour ma terre de Baudricourt.

Étant entendu que de par la nature de la Terre de Bolchen, son caractère Souverain, et donc au « pire » (« pire » étant ici utilisé comme facilité de langage) égal au Duc de Lorraine en exercice ou à un Duc dit de « retraite », seul le personnel et la Terre du Vicomté de Baudricourt (« biens et services » matériels et immatériels) peut se retrouver en position de prêter serment d’allégeance (ou dit « hommage simple ») à la Lorraine. Et pourrait donc, dans l’absolu, se voir réclamer une allégeance (hommage simple).

Or, considérant à ce jour, la longue durée de Notre Noblesse qui se compte en nombreuses années (In Grabatus) durant laquelle il ne nous a JAMAIS été réclamé serment d’allégeance de Baudricourt vis-à-vis de la Lorraine ;

Considérant dès lors, que nous n’avons JAMAIS prêté allégeance à AUCUN Duc de Lorraine que ce soit, mais effectué des serments d’hommages en marche avec les Ducs de Lorraine (que ceux-ci ont tous consentis librement) qui n’ont pas été félons à leurs devoirs à Notre égard et à l’égard de la Lorraine ;
(rappelons ici, que lorsque nous sommes devenu Baron à la fin du mandat de la duchesse Morphée Von Frayner, c'est Notre personne qui a accédé à la tête du duché de Lorraine. A la fin de Notre mandat, devenu duc dit "de retraite", nous étions dès lors -"au pire"- l'égal de n'importe quel autre duc de retraite et In Grabatus d'empire. Ainsi, nous avons, pour la transmission de la succession de la charge de Duc de Lorraine, passé le relais au feu Duc de Salm Yanahor de Rubempré, auquel nous avons rendu ledit hommage en Marche. Et ainsi de suite, à l'exception des Ducs et Duchesses félons comme nous l'avons expliqué précédemment, soit 3 personnages insignifiants et de triste mémoire pour l'honneur de la Lorraine sur la scène impériale et européenne.)

Considérant que ma Terre de Baudricourt est placée par ailleurs depuis de nombreux mois (comme en atteste la déclaration à l'encontre de la brièvement notoire duchesse de Lorraine d'alors, Bambou, dans la salle des hommages au Castel de Nancy) sous la protection et allégeance directe de Notre Empereur LJS ;

Peut être considérée de facto, et c’est ainsi que nous le considérons inaliénable, à la fois de par l’usage historique et par effet de jurisprudence, et donc in fine ce qu’on appelle un « privilège » héraldique accordé par le biais de la coutume à Notre égard, Baudricourt, tel un alleu du Saint Empire germanique, appartenant au Souverain de Bolchen, Nous-mêmes vassal de Notre Empereur LJS.

Ainsi, le serment d’hommage en marche ne peut constituer que le seul serment, contractable librement par notre partie, et conjointement avec l’autre partie.
Le plus courant étant le dit serment d’hommage spécifique et réciproque consenti avec l’occupant temporaire du trône du duché de Lorraine.
Qu'à présent la duchesse concernée sait ce qu'elle doit faire pour rétablir la paix, l'honneur de tous et voir le dit serment appliqué.

Toute autre demande que le renouvellement, de temps à autres, du serment d’allégeance vis-à-vis de Notre empereur LJS, afin de s’assurer de la continuité de la dite allégeance, étant considérée comme un acte d’ignorance et d’indignité illégale (selon le fait héraldique) à Notre égard.
Et qui sera traité comme tel, à la mesure de la courtoisie et du respect de la part des interlocuteurs concernés à Notre égard, donc.
Ici, et pour l'heure, nous le disons en vérité, la retransmission qui nous en a été faite, nous est apparue cordiale. Nous en prenons acte, et c'est pourquoi nous y avons répondu par le complet rappel des faits, excluant toute invective à caractère malveillant à destination de qui de droit.

Rappelons enfin, que Notre amour éternel pour la Terre de Lorraine -dont Baudricourt est le témoignage de notre Haut mérite pour services rendus exceptionnels à son Etat, au nom de laquelle nous consentons à vous répondre en ce jour, malgrès notre petite forme- [Lorraine] celle qui Nous a vu naitre, pour qui Nous avons toujours fait passer son intérêt supérieur au dessus des Nôtres et de nos conflits privés avec certains fonctionnaires à la date où Nous écrivons, celle pour qui Nous avons tant œuvré, celle que Nous avons tant dirigé durant Notre vie d’adulte jusqu’à Notre « retraite » des affaires du monde, du fait de Notre Etat de santé ; que cette ardeur passionnée qui nous anime, nous fera l’aider à la mesure de nos moyens présents, par notre plume, notre épée et notre esprit jusqu’à notre mort.

Écrit sur le long de janvier 1458, achevé le 1er février de ladite année à Chalons, de Notre Main Souveraine.
G.v.F

Floche alors duchesse de Lorraine, et la HI, l'ayant acté, n'y trouvant rien à redire, comme le Héraut de Lorraine (et la MAI) l'a rappelé dans son instruction de dossier d'alors, qui se doit de se trouver encore à la HI. Je suppose qu'il ne suffit que de chercher pour trouver. Ce qui, ici est de la responsabilité du Héraut de maintenant.

Puis le temps a passé, et ce fut au tour de Marjolaine, de ne rien trouver à redire à ça :

Citation :: Nous Guise Von Frayner, Souverain de Bolchen et de Baudricourt; déclarons par la présente que:

Considérant que la Lorraine, de par l’expression de son incarnation bimensuelle, à savoir pour le présent mandat, a fait de marjolaine, sa duchesse;

Considérant que Nous sommes toujours de bonne volonté et ainsi donc prêt à ce que la Lorraine fasse la paix avec Notre Maison;

Considérant que, comme nous l’avons rappelé (en sus d’un rappel du fait héraldique de bon aloi) en date de notre courrier du 1er février 1458, à destination de la hérauderie impériale et de l'incarnation bimensuelle concernée d’alors, floche, ses deux « personnes morales » l’ayant acté;
la Lorraine n’a toujours pas fait acte de contrition et demande d’excuses pour l’infamie et l’atteinte aux devoirs héraldiques de ce duché à l’égard de Notre personne; A savoir défaut de Justice et de protection;

Considérant que ces faits, ayant entrainé la violation du précédent traité de paix contracté entre la Lorraine et Bolchen sous le mandat du Duc d’alors, à savoir Circa de Rubempré, par l’expression de la cérémonie de prestation d’hommage en marche mutuel; déclarant par la même la guerre à Notre personne et à Notre Maison;

Nous venons vers vous aujourd’hui, en guise de bonne volonté, prêt à vous tendre la main dans Notre grande mansuétude et bonté, car de guerre nous sommes las, afin de vous questionner sur vos intentions.

A savoir : Êtes vous prête, en laissant vos éventuelles querelles personnelles de côté, à effectuer ce qui va de votre devoir d‘incarnation bimensuelle de l‘Etat lorrain, à savoir œuvrer pour la paix en votre duché, et être le garant de sa Justice et de sa protection vis-à-vis de sa Haute Noblesse ? En sommes êtes vous prête à diriger la Lorraine dans l’Honneur ?

Si tel est le cas, alors nous attendons de votre part une lettre, un mot, un geste, public ou privé selon vos envies, afin d’excuser les crimes héraldiques et d’honneur commis à Notre encontre au nom de la Lorraine par l’intermédiaire d’une obscure et incompétente précédente mandature;

En fonction de votre réponse, que nous espérons pour le bien commun et de chacun d‘entre Nous, positive, nous agirons en conséquence.

A savoir que si lesdits pré requis sont établis, alors en gage de la concorde retrouvée, Nous consentirons à un serment d’hommage en marche mutuel, à la limite de Nos Terres respectives, afin de sceller notre nouveau traité de paix entre Bolchen et la Lorraine.

Fait à Aix-la-Chapelle, de Notre Souveraine volonté, par Notre main, en ce jour du 4 Mars 1458.
G.v.F

Enfin, les mois passant, (passée une nouvelle période de retraite sans discontinuité), la paix fut retrouvée, en début du mois d'octobre, sous le précédent mandat en Lorraine, la duchesse d'alors actant par serment d'hommage (dit en marche) avec Guise ce qui, depuis plus de 4 ans est un fait héraldique.

Et enfin la reconnaissance officielle, actée par la HI :

Citation :

Nous, Sybille von Frayner d'Azayes, Duchesse de Lorraine,

A Béatrice de Castelmaure-Frayner, Souveraine de Bolchen, Duchesse de Nevers, Comtesse du Lauragais, Vicomtesse de Chastellux & Baudricourt, Baronne de Chablis & Laignes, Maréchal d'Armes Impérial,

Salut.

Nous vous faisons parvenir une copie du courrier adressé ce jour à sa Grasce Guise von Frayner.

Citation :: Nous, Sybille von Frayner d'Azayes, Duchesse de Lorraine, pour mes prédécesseurs, présentons les excuses adéquates au nom de la Lorraine vis-à-vis de Guise von Frayner, et reconnaissons ainsi le caractère inaltérable de la souveraineté de ses terres, égale en dignité de rang à la nôtre, en échange de notre mutuel serment d'hommage en marche.

Que la paix soit ainsi faite et reconnue entre la Maison de Bolchen et celle de Lorraine!

Fait et scellé à Nancy,
Le 3 octobre de l'an de grâce 1458

Pour faire valoir ce que de droit,

Fait et Scellé à Nancy le 3 octobre de l'an de grasce 1458.

Sybille von Frayner
Duchesse de Lorraine

[Gestion] Souveraineté de Bolchen ??? Lorrainepjlb5uk2

[Gestion] Souveraineté de Bolchen ??? Lorrainepjlb5uk2

Bref, démonstration faite. Donc non, Charlemagne ne prêtera pas allégeance, comme son père ne le faisait pas, il prête serment d'hommage dit en marche, ce, légitimé par l'usage, devenu coutume (si au bout de 4 ans de temps sur 6 d'existence de jeu, l'usage n'est pas considéré juridiquement comme coutume héraldique, alors il faut pas faire d'héraldique dans un jeu), légitimé et accepté par tous les ducs et duchesses successifs sur cette période de temps, légitimé et acté par tous les MAI et hérauts de Lorraine jusqu'ici qui se sont succédé, et enfin acté définitivement entre Lorraine-HI-Guise, par le dernier acte en présence.

(Etant donné que l'effet rétroactif est proscrit HRP parlant par l'admin LJS (cf cas LJD Cassandre lorsqu'elle était présidente de la Cour suprême impériale, qui lui a valu son éviction et qui a garanti l'effet suspensif de tous les appels en... cour d'appel), étant donné qu'aussi bien HRP parlant, héraldiquement sur tous les plans possibles nous avons raison, étant donné qu'rp parlant ces mêmes données me donnent également raison...)

Les terres de Bolchen et de Baudricourt sont bien souveraines et uniquement allégeantes à l'Empereur, même si nous ferons un serment en marche à la Lorraine, en vertu de la paix qui nous lie.

Il n'existe aucun traité en Grande Galerie portant sur la Souveraineté de ses terres, j'aimerais donc comprendre d'où vient ce décret unilatéral de souveraineté. Inutile de vous dire que je n'y souscris point. Bolchen est un Duché comme les autres pour la Lorraine. Nul question de reconnaître sa souveraineté.

Sujet: Re: [Gestion] Souveraineté de Bolchen ??? Sam 1 Oct 2011 - 21:44

Hum.. Pas compris grand chose.. Mais t'as surement raison!

» [Gestion] Epinal

[Gestion] Souveraineté de Bolchen ???

[Gestion] Souveraineté de Bolchen ???

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