La première est à éviter !

je ne la recommande pas Elisette mais l'option est là, des conseillers pourraient la choisir. Pour ma part, j'essaierais avec la 3ème option et je saurais qui pourrait aider

Ce soir, je dois voir le Franc Comte et le Duc de Savoie. On essaie de se voir régulièrement pour coordonner nos actions, notamment sur Genève.
On verra si on ne peut pas envisager une lettre commune vis à vis de la Champagne, cela aurait encore davantage de poids.

Une lettre commune aurait, selon moi, l'impact d'aggraver les tensions, comme s'il s'agissait d'une réplique. Si j'étais la Champagne, je rassemblerais le DR pour vous répondre... cela ne fera qu'envenimer la situation.

Pour ce qui est de Saint Claude, la ville a déjà été reprise, je ne crois pas que les discussions sur Genève porte sur une aide militaire, les SA y sont encore à moins que mes informations datent....

Oui la même chose.
On peut pas simplement leur faire une gentille lettre d'excuses, en expliquant qu'il y a eu un malentendu et qu'on n'accusait la reyne de rien, que c'était juste une rumeur qui est parvenue à nous oreilles et que nous n'avons pas tardé à mettre de côté ?

Ils ont déjà eu une lettre... on peut relancer mais certainement pas se mettre à genoux !

Ouais, je suis de l'avis de Jade. On va pas baisser nos braies devant eux quand même! *tire la langue à Zeiss et Eli au passage*

Pardon, j'aurais dû suivre d'un peu plus près l'affaire au lieu de sauter la moitié, rhalala !

Une personne du CD de Champagne m'a dit que le Duc nous avait préparé une réponse, et elle était surprise d'apprendre qu'on ne l'avait pas encore reçue.
Je vais prendre des nouvelles au plus vite pour savoir ce qu'il en est.

Merci Elisette ! peut-être que le pigeon s'est égaré...

Étant donné que la personne en question n'avait pas de nouvelles, je suis moi-même allée voir le duc de Champagne pour qu'il m'éclaire.
Je sais pas si j'étais seule à avoir mal compris, mais je vous fais un petit résumé de la situation.

La Reyne de France a ordonné au Duc de Champagne, je cite Arman :

le Duc de Champagne a écrit:

La reyne a dit interdiction de mettre a disposition la cour de justice de champagne pour jugé les brigands de Nancy.

le Duc de Champagne a écrit:

Après, les directives royales ou impériales priment sur les traités ducaux ou comtaux.

Aussi, le traité de coopération judiciaire que nous avons avec la Champagne ne peut être rompu qu'en cas de guerre.
La déclaration du Duc de Champagne n'est donc à prendre en compte que pour lesdits "brigands de Nancy".

Pour moi, il n'y a donc aucun problème.
Pour moi, il faut en rester là, clore l'affaire, avant que la Champagne se fâchent et mette un terme à nos relations diplomatiques (comme ça a même été envisagé de leur côté).
Il faut absolument qu'on garde ces relations diplomatiques avec la Champagne, ils sont nos voisins, alors évitons de trop les froisser ou les attaquer.
Si des explications doivent encore avoir lieu, c'est entre la Lorraine et la Reyne, pas la Champagne.
Comme je le disais à Sébastien, quitte à faire parvenir à la Reyne une lettre d'excuses quant aux rumeurs, infondées et ignorées par le Conseil Ducal, qui ont pu parvenir à ses oreilles.

Vala.

Une lettre lui affirmant nos bons sentiments à l'égard du Royaume de France, pourquoi pas, mais une lettre d'excuses cela me semble hors de propos...

C'est ce que je dis, Amael...
Et c'est parce qu'ambassadeurs lorrains, franc-comtois et savoyards sont sur place, en Champagne, que je m'affole du fait qu'on mêle encore le duché voisin à cette histoire.

Aussi, la Reyne a certainement toujours la même vision de la Lorraine et c'est mauvais pour nous, étant donné que nous n'avons même pas TENTÉ de lui faire parvenir une explication, chose inadmissible à mon sens !

Ah ?
Pourrait-on avoir un rapport, ne serait-ce que vague, de cette entrevue avec elle ?
Simplement histoire d'être au courant et de ne pas perdre inutilement notre temps et notre énergie.

Bien, j'avais cru comprendre au long du débat que vous n'étiez pas allée la voir.

Nous pouvons donc clore le sujet.