Revigny-sur-Ornain

Héraldisme

Fief ...
Description du Blason : D’azur semé de croix recroisetées au pied fiché d’or à deux bars adossés de même
Ancien nom : ...
Devise : Résister pour vaincre, Rebâtir pour vivre.
Actuel Seigneur : ...
Ancien Seigneur : ...
Nom des habitants : ...

Seigneuries historiques :

Seigneuries RR octroyées :

Généralités historiques

Première mention en 965.
"Reviniacus", ancienne villa romaine sur la côte Saint-Martin, fut ruinée par les barbares aux 5ème et 6ème : les habitants rescapés auraient essaimé et fondé Vassincourt, Neuville et Revigny.
Affranchi en 1251 par Thiébaut II, comte de Bar.
Jadis, Barrois, bailliage de Bar, diocèse de Toul.
Fut toujours une localité importante depuis le 10ème.
La maison forte de Revigny, fit au 15ème l'objet de nombreuses attaques armées et fut ruinée au 17ème, au cours de la guerre de Trente ans.
Le village fut très endommagé en 1914, puis eut à subir de nouveaux ravages en 1940.
Patrie de Jacques de Revigny, évêque de Verdun (13ème) ; du général Fauconnet (1750-1819), baron d'Empire, de l'historien Pierre Gaxotte.
Village en extension depuis 1900 : industrie, chemin de fer, canal (1744 habitants en 1900).

Vestiges préhistoriques et antiques

Ancienne cité romaine sur la côte Saint-Martin.
Substructions gallo-romaines au lieu-dit Bas-Jardin.

Architecture civile

Maison forte 16ème/17ème, remaniée 19ème.
Village reconstruit après 1914/18 ; quelques rares maisons anciennes épargnées en 1914 puis en 1940.
Hôtel de ville 1923.
Beau cadran solaire devant l'église.
Maison natale de Pierre Gaxotte.

Architecture sacrée

Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul* 15ème/16ème gothique (MH) : nef à collatéraux, transept saillant, chevet monumental* à 5 pans, clocher reconstruit 1705, restauration en 1859 puis après la Première Guerre mondiale, piscine Renaissance* ; gargouilles*.
Eglise Saint-Joseph artisan 1962.
Ancien ermitage Saint-Viviant, ou Notre-Dame-de-Grâce, ermitage 16ème détruit en 1795.
chapelle actuelle 1898 : pèlerinage ; à proximité, source de la Chapelle.
Chapelles disparues : chapelle dite des Barbitons détruite en 1799 ; chapelle à l'ancienne cense de Grandcourt ; chapelle dans la maison hospitalière fondée en 1334 (disparue).
5 croix de chemin 19ème.
Cimetière communal 1847.
Cimetière militaire national français.

Source

Lien