arriva le baron de Rehainvillier,

baron, je vous accorde
aujourd’hui protection, justice et subsistance. Qu’Aristote vous garde
et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien de la Lorraine.

il s'approcha de lui et lui fit le baiser de la paix

Après avoir reçu le baiser de paix scellant l'allégeance, le Hérault de Vigneulles plongea sa main dans la poche intérieure de son manteau et en sorti un parchemin, il le tendit alors au Duc Gwendarion.

Votre Grace, l'hérauderie Impériale vient de recevoir il y a un instant l'allégeance du Baron Sebastien Pirlet pour ses terres de Belrupt.

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, SebastienPirlet de Rubempré, humble baron de Belrupt en Lorraine,

à vous, Gwendarion, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Gwendarion], Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Gwendarion, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre assermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous SebastienPirlet de Rubempré, humble seigneur de baron de Belrupt en Lorraine, a écrit et ratifié, en l'enceinte du donjon de Belrupt, le 26 février 1457.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

J'espère que celà vous conviendra...

Le Baron de Vigneulles se retira alors derrière son pupitre, afin de continuer à observer la cérémonie d'allégeance, diriger par Victorine. Ainsi, il laissait la place à sa soeur Ecaterina et au Duc de Lunéville pour qu'ils puissent faire leurs propres devoirs.

Un message fut déposé

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous, Enorig d'Azayes, Duchesse de l'Aigle et de Chiny, Baronne d'Ancerville et dame de Beynac

à vous,Gwendarrion, Duc de Lorraine par la grâce des urnes, nous reconnaissons vous comme Duc légitime de Lorraine

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous à un tiers en Sring, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.
Sachez cependant que mon allégeance prime va au Roy de France et que si conflit devait être entre le Roy et la Lorraine un choix devrait être fait par moi.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Enorig d'Azayes, Duchesse de l'Aigle et de Chiny, Baronne d'Ancerville et dame de Beynac a écrit et ratifié,

Fait à Bordeaux le 10 mars 1457

Citation :

Par la grâce d'Aristote, moi, Chlodwig Von Frayner d’Azayes, Baron de Château-rouge et Seigneur de belzaize, par la Grace de la puissante duchesse Enorig d’Azayes ma mère,

Au Duc du Duché souverain de Lorraine

salut

Par la présente, vous reconnaissons comme suzerain vous, Gwendarion de Beauregard, Duc de Lorraine, que votre mandat soit porteur de paix et de réconciliation, malgré les factieux qui t’entourent,

Nous vous jurons aujourd’hui, et comme à la vieille peau à qui vous succédez, quoi qu'avec plus de coeur, respect (obsequium), aide (auxilium), conseil (consilium), et surtout fidélité,

Déclarons néanmoins que suite au précédent mandat qui a vu se déchaîner à mon encontre nihilisme et ingratitude la plus totale de la part de ceux et surtout celles (ou CELLE) à qui j’avais sauvé les miches, ne plus être en mesure de vous apporter mon aide comme je l’ai toujours fait jusque là, et ce, toujours dans le bien de la lorraine, quoi qu’en disent les menteurs, les mythomanes, les crétins, les médiocres, les jaloux, les mauvais, les hypocrites, les aveugles, les sourds, les boiteux, les moches, les petits et les trou du cul.

Déclarons ensuite que notre allégeance lige n’a point changé et va comme toujours à ma première suzeraine, celle à qui je dois tout, la plus Grande duchesse que la Lorraine n’ai jamais connu, celle qui a fait que le mandat de Yanahor ne fut pas un désastre de part son absentéisme et sa médiocrité, celle enfin dont je respecterais toujours les compétences et la probité, ma mère, Enorig d’Azayes, duchesse de l’Aigle et de Chiny, dont je suis le vassal par mes terres de Belzaize.

Par conséquent,

Si un conflit venait à vous opposer à ma mère, Dieu nous préserve d’une telle chose, nous prendrions fait et cause pour elle et remurions ciel et terre pour assurer la défense de son honneur.

Si un conflit venait à vous opposer à n’importe quel tiers, sachez que vous disposerez de notre épée et de notre vie à votre guise et qu’elle vous protégera quel qu’en soit le prix.

Cela nous vous le jurons,

Nous Chlodwig Von Frayner d’Azayes dict l‘Effronté, Arrogant baron de Château-rouge et Seigneur de Belzaize, avons écrit et ratifié,

Fait le 11 mars 1457 à Clermont,

Citation :

Qu‘il soit dit et répété que nous, la sublissime Rochelle de Navarre Von Frayner, baronne de Fontoy et d’Amance,

Reconnaissons Gwendarion de Beauregard, Duc légitime de Lorraine comme notre suzerain, lui jurons par là même respect, aide et conseil,

Si un conflit venait à vous opposer à n’importe qui, nous prendrions fait et cause pour vous,

Acté et signé à Sainte Ménéhould, le 11 mars 1457

arriva le barone de chembley il l'ecouta ,

barone
, je vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu’Aristote vous garde et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien
de la Lorraine.

il s'approcha d'elle et lui fit le baiser de la paix


puit s'aprocha la vicomtesse d'ancerville

vicomtesse, je vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu’Aristote vous garde et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien
de la Lorraine.

il s'approcha d'elle et lui fit le baiser de la paix


ce fut le tour du duc de luneville


Vostre Grasce, je vous accorde
aujourd’hui protection, justice et subsistance. Qu’Aristote vous garde
et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien de la Lorraine.

il s'approcha de lui et lui fit le baiser de la paix

Citation :

baron sebastienpirlet**, nous avons prie acte de votre courrier.
En ce jour solennel, nous, Gwendarion de Beauregard, actuel Duc de Lorraine vous accordons protection, justice et subsistance.
Qu’Aristote vous garde, et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien du Lorraine.
Faict au Castel de Nancy, le 12 Février 1457

Citation :

baron perseus**, nous avons prie acte de votre courrier.
En ce jour solennel, nous, Gwendarion de Beauregard, actuel Duc de Lorraine vous accordons protection, justice et subsistance.
Qu’Aristote vous garde, et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien du Lorraine.
Faict au Castel de Nancy, le 12 Février 1457

Citation :

baron chlowing von frayer**, nous avons prie acte de votre courrier.

En ce jour solennel, nous, Gwendarion de Beauregard, actuel Duc de Lorraine vous accordons protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde, et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien du Lorraine.

Faict au Castel de Nancy, le 12 Février 1457

Citation :

baron rochelle de navarre**, nous avons prie acte de votre courrier.

En ce jour solennel, nous, Gwendarion de Beauregard, actuel Duc de Lorraine vous accordons protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde, et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien du Lorraine.

Faict au Castel de Nancy, le 12 Février 1457

Citation :

Votre grasce enorig**, nous avons prie acte de votre courrier.

En ce jour solennel, nous, Gwendarion de Beauregard, actuel Duc de Lorraine vous accordons protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde, et vous aide à continuer à œuvrer pour le bien du Lorraine.

Faict au Castel de Nancy, le 12 Février 1457

Citation :

Par la grâce des deux prophètes Aristote et Christos, qu'il soit dit, su et répété

Que nous, Sybille Von Frayner d'Azayes dicte La Douce, duchesse d'Herbéviller, baronne de Dombasle et commandeur de l'alérion lorrain,

Vous reconnaissons, Gwendarion de Beauregard, comme étant le Duc de Lorraine légitime,

Vous rendons ainsi hommage et reconnaissons par là même l'égalité de la dignité de nos rangs.

Vous prêtons également allégeance pour nos terres de Dombasle et vous promettons, à vous nostre suzerain, obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par nos terres d'Herbéviller, nostre allégeance lige va, comme elle l'a toujours été, à notre empereur LongJohnSilver.

Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors nostre personne se rangera à vos côtés.

Fait et scellé en nostre castel d'Herbéviller le 11 mars 1457

Pour la Lorraine,

Oedipe toujours devant son pupitre reçu deux nouveaux domestiques du Baron de Manom et de la Dame de Morhange. Il vérifia alors les lettres, les allégeances étaient conformes, il se présenta devant le Duc une nouvelle fois, afin de lui tendre les deux parchemins:

Citation :

Nous, Charles XI de Mélian, Baron de Manom par la volonté de l'Empereur, Chevalier de l'Alérion Lorrain, VIe Président de la Haute Assemblée Lorraine, prêtons allégeance à Gwendarion légitime Duc de Lorraine. Promettons fidelité, aide et service armée ainsi que conseil en échange de protection, justice et subsistance !


Fait à Manom, en Lorraine, le neuvième jour du troisième mois de l'an de grâce 1457.

Citation :

Par la grâce d'Aristote, nous,Kheops de Morhange , humble seigneur de Morhange en Lorraine,

à vous, Gwendarion, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous,
Gwendarion, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect , aide
et conseil ,

Que si un conflit venait vous opposer vous Gwendarion, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Kheops de Morhange, humble seigneur de Morhange en Lorraine, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte du donjon de Gascogne, le 11 Mars .

Par la suite il regagna sa place et vérifia quels sont les personnes qui n'avaient toujours pas présentés leurs allégeances.

[HRP : envoyé et reçu par le même canal (fofo officiel) que le courrier d'Oedipe, le 6 mars (daté du 5 mars) ]

Après que la Baronne d'Ottange ait une nouvelle fois prêté son allégeance, Oedipe vint tendre un nouveau parchemin au Duc de Lorraine. Il s'agissait de l'allégeance du tout nouveau Baron de Danne et Quatre Vents, Eiddin de Margny-Riddermark, un jeune garçon d'une douzaine d'années...

Citation :

Par la présente missive, nous, Eiddin de Margny-Riddermark, Baron de Danne-Et-Quatre-Vents en Lorraine reconnaissons comme suzerain vous, Gwendarion, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect, aide et conseil,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Gwendarion, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Le quinzième de mars dans le castel de Saulx en Franche-Comté, par la main du Vicomte Eiddin de Margny-Riddermark,

Per Aspera Ad Astra

Il retourna alors à sa place en attendant que le Duc lui donne les missives à faire parvenir aux nobles ayant prêté allégeance par courrier.

Il ne restait plus qu'à attendre la dernière personne Siegfried Ardarinion, Baron de Ruppes qui ne lui avait toujours pas fait parvenir son allégeance à Gwendarion.