Et au détour des innombrables couloirs du Castel, un serviteur l'arrêté pour l'emmener à l'entrée du Castel, où le représentant de Sion attendait. Il s'approcha, avec les sourcils froncés, mais un sourire poli. Il avait déjà rencontré son interlocuteur.
Ah, bonjour Waldemar, et bienvenue au Castel de Nancy.
Bien évidemment, nous allons pouvoir parler de cette fâcheuse situation, comme vous dites. Vous préfèrerez en parler dans un salon privé, j'imagine ?